BTP : pourquoi la sénégalaise CSE se recentre sur ses bases
Autrefois active dans une dizaine de pays ouest-africains, la Compagnie sahélienne d’entreprises a réduit sa présence régionale et réalise désormais 60 % de son activité sur son marché domestique.
![Le premier tronçon du TER, projet phare de Macky Sall et du PSE, a été réceptionné le 14 janvier. Ici, la gare de Dakar. © Lionel Mandeix/Présidence Sénégal](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/05/24/34793hr_.jpg)
Le premier tronçon du TER, projet phare de Macky Sall et du PSE, a été réceptionné le 14 janvier. Ici, la gare de Dakar. © Lionel Mandeix/Présidence Sénégal
L’un des principaux poids lourds du BTP au Sénégal, aux côtés d’Arezki, du Consortium d’entreprises (CDE) et d’Eiffage, effectue depuis quelque temps ce que l’on appelle un retour en zone. Jusqu’ici, la CSE réalisait près de 60 % de son chiffre d’affaires annuel consolidé hors de ses bases sénégalaises.
Jadis présente dans une dizaine de pays, elle a aujourd’hui resserré son périmètre d’activité dans une poignée de pays de la sous-région (Mali, Sierra Leone, Liberia, Burkina Faso). Pour preuve, depuis deux ans, son agence nigérienne est fermée.
Les raisons du recentrage stratégique d’une entreprise comptant pourtant parmi les pionnières de l’expansion régionale ?
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)