Cameroun : l’opposition en ordre dispersé avant les législatives
Tous les partis d’opposition sont d’accord pour attaquer le pouvoir de front aux élections législatives de novembre prochain. Mais pas forcément à l’unisson…
![Un partisan du Social Democratic Front (SDF) lors de la campagne présidentielle. © ALEXIS HUGUET/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/05/24/34771hr_.jpg)
Un partisan du Social Democratic Front (SDF) lors de la campagne présidentielle. © ALEXIS HUGUET/AFP
![Un drapeau camerounais durant la campagne présidentielle de 2018. Photo d’illustration. © Sunday Alamba/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/05/28/sipa_ap22256383_000005.jpg)
Le Cameroun en équilibre instable avant les législatives
Confronté à la crise anglophone, aux attaques de Boko Haram et au ralentissement économique, le Cameroun est dans une position délicate. Dans un tel contexte, les élections législatives de novembre font office de véritable troisième tour, notamment pour le chef de l’État Paul Biya.
Les incertitudes sont grandes à l’approche des prochaines législatives, attendues en novembre au Cameroun. Préoccupée par la crise anglophone et perturbée par le malaise ambiant qui plane depuis la présidentielle d’octobre 2018, la classe politique semble faire peu de cas de ce scrutin, qui avait été reporté en juillet de la même année.
Mais, à quelques mois de l’échéance, les préparatifs vont bon train. S’ils restent discrets, ils occupent une place de choix dans les agendas des différents partis.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)