Togo : la coalition de l’opposition bientôt hors-jeu ?
Absente du Parlement pour avoir boycotté les législatives togolaises, la coalition C14 se retrouve en bien mauvaise posture dans la perspective des locales de juin.
![Jean-Pierre Fabre (en orange), président de l’Alliance nationale pour le changement. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/06/07/35266hr_-e1560348566560.jpg)
Jean-Pierre Fabre (en orange), président de l’Alliance nationale pour le changement. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP
![Avenue de la Paix, à Lomé. © Salifou Ouzerou/Jeune Afrique](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/06/11/rea_262733_002.jpg)
Changement d’horizon au Togo
Le chef de l’État, Faure Gnassingbé, s’appuie sur le Plan national de développement (2018-2022) pour transformer le pays en profondeur, multiplier les projets et attirer les investisseurs.
L’opposition n’a pas le moral. Elle avait parié sur le boycott des législatives du 20 décembre 2018 pour mettre le pouvoir dos au mur. Mais cela n’a pas marché, et le scrutin s’est tenu sans la coalition C14, ce regroupement de mouvances politiques articulé autour des deux formations les plus importantes de l’opposition dite radicale, l’Alliance nationale pour le changement (ANC), de Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition lors de la précédente législature, et le Parti national panafricain (PNP), de l’opposant en exil Tikpi Atchadam.
Bien s’informer, mieux décider
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