Togo : les enjeux du projet d’agropole de Kara

Pour doper les rendements et la transformation locale, le pays met en place des agropoles rassemblant tous les acteurs d’une filière. Test grandeur nature dans le Nord, avec l’agropole du bassin de la Kara.

L’agropole de Kara devrait s’étendre sur 165 000 ha et créer au moins 25 000 emplois (photo d’illustration). © Flickr/CC/Africa Food Security 12

L’agropole de Kara devrait s’étendre sur 165 000 ha et créer au moins 25 000 emplois (photo d’illustration). © Flickr/CC/Africa Food Security 12

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Publié le 18 juin 2019 Lecture : 2 minutes.

Avenue de la Paix, à Lomé. © Salifou Ouzerou/Jeune Afrique
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Changement d’horizon au Togo

Le chef de l’État, Faure Gnassingbé, s’appuie sur le Plan national de développement (2018-2022) pour transformer le pays en profondeur, multiplier les projets et attirer les investisseurs.

Sommaire

« Dans le cadre des agropoles, le gouvernement parie sur une approche pragmatique pour créer les conditions d’installation d’unités agro-industrielles, explique Noël Bataka, le ministre de l’Agriculture. Un plan stratégique identifie dix agropoles, qui seront mises en place graduellement afin de documenter le processus avant leur développement à plus grande échelle à travers le pays. »

30px;text-align:>>> À LIRE – La transformation de notre agriculture doit être menée de manière participative

Identifiée parmi les huit projets prioritaires du Plan national de développement (PND) 2018-2022, l’agropole du bassin de la Kara (Nord-Est) sera la première à voir le jour. Un site stratégiquement situé sur le corridor routier Lomé-Ouagadougou, pratiquement à mi-chemin entre les deux capitales – et leurs grands marchés.

Bien s’informer, mieux décider

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