Après-Béji Caïd Essebsi en Tunisie : « La Constitution a été respectée. C’est un motif de fierté »

Hassen Zargouni, directeur général du cabinet Sigma Conseil – qui réalise notamment de nombreux sondages politiques – , analyse les conséquences de l’accélération du calendrier électoral après la mort du président Béji Caïd Essebsi.

Hassen Zargouni, directeur général du cabinet Sigma Conseil. © Ons Abid pour JA

Hassen Zargouni, directeur général du cabinet Sigma Conseil. © Ons Abid pour JA

Publié le 5 août 2019 Lecture : 2 minutes.

Jeune Afrique : Le décès du président de la République a-t-il eu valeur de test pour la démocratie tunisienne ?

Hassen Zargouni : Le « jeudi noir » vécu par les Tunisiens le 25 juillet a permis d’encaisser les appréhensions, les phobies, les peurs. Contrairement à ce que véhiculent ou colportent certains médias, étrangers pour la plupart, la Tunisie n’a pas été dans l’incertitude lors du processus de la passation des pouvoirs. Elle n’a pas non plus connu de violences urbaines.

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