Katsumi Hirano : « Notre secteur privé est encore en phase de découverte du marché africain »

Katsumi Hirano est vice-président de l’Organisation japonaise du commerce extérieur (Jetro), chargé de l’Afrique. Il répond aux questions de Jeune Afrique.

2016- DG Li with Katsumi HiranoTOKYO, 13 May 2016 – Director General Li met Katsumi Hirano, Executive Vice President, Japan External Trade Organization (JETRO). © UNIDO

2016- DG Li with Katsumi HiranoTOKYO, 13 May 2016 – Director General Li met Katsumi Hirano, Executive Vice President, Japan External Trade Organization (JETRO). © UNIDO

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Publié le 8 août 2019 Lecture : 2 minutes.

Shinzo Abe, le premier ministre Japonais, à l’ouverture de la Ticad V, en juin 2013 à Yokohama. © Itsuo Inouye/AP/SIPA
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Ticad VII : Japon-Afrique, une nouvelle dynamique ?

Si le pays de Shinzo Abe fut le premier en Asie à institutionnaliser ses relations avec le contient, il semble aujourd’hui distancé par ses concurrents. La 7e édition de la Ticad, organisée fin août à Yokohama, pourrait lui permettre de revenir dans le jeu.

Sommaire

Jeune Afrique : Comment ont évolué les relations économiques entre le Japon et l’Afrique ces trois dernières années, depuis la Ticad 6 ?

Katsumi Hirano : Depuis Nairobi, nous avons constaté une stagnation, voire une baisse certaines années, de nos échanges commerciaux avec le continent ainsi que des volumes d’investissements réalisés sur place. Il y a donc urgence pour le Japon de redévelopper et de renforcer ses liens économiques avec l’Afrique.

Bien s’informer, mieux décider

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