Congo-Brazzaville – Tourisme : des sensations grandeur nature

Si les activités touristiques sont encore marginales, de réels efforts sont déployés pour organiser et étoffer l’offre actuelle. Laquelle tend à privilégier les prestations haut de gamme pour préserver une biosphère unique au monde.

Les forêts du bassin du Congo représentent 90 % des forêts tropicales en Afrique et environ 80 % de la biodiversité africaine. © Rebecca Blackwell/AP/SIPA

Les forêts du bassin du Congo représentent 90 % des forêts tropicales en Afrique et environ 80 % de la biodiversité africaine. © Rebecca Blackwell/AP/SIPA

Publié le 5 septembre 2019 Lecture : 4 minutes.

Le président congolais Denis Sassou Nguesso, à l’Élysée le 30 septembre 2019. © Kamil Zihnioglu/AP/SIPA
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Congo-Brazzaville : après la tempête…

S’il reprend peu à peu le chemin de la croissance, le pays doit encore faire ses preuves en matière de bonne gouvernance et miser enfin sur l’agriculture et l’essor d’un véritable « green business » écoresponsable.

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Avec ses paysages spectaculaires, sa flore et sa faune sauvage exceptionnelles – gorilles des plaines de l’Ouest, chimpanzés, lions et éléphants de forêt, hippopotames, cobes, buffles, antilopes, tortues luth… – , le Congo a tout pour se positionner comme une destination écotouristique majeure.

Plus de 13 % de son territoire sont classés en aires protégées, parmi lesquelles figurent cinq parcs nationaux : ceux d’Odzala-Kokoua et de Ndouabalé-Ndoki dans le Nord, celui de Conkouati-Douli sur le littoral (dans le Kouilou), auxquels se sont ajoutés ceux de Tokou-Pikounda (à cheval sur les départements de la Sangha et de la Cuvette, dans le Nord), créé en 2013, et de l’Ogooué-Lékéti (Plateaux et Lékoumou, Centre), inauguré en novembre 2018.

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