Congo-Brazzaville : chantiers suspendus et projets clés

Conséquences visibles de la crise financière et économique, nombre de chantiers sont à l’arrêt dans la capitale Brazzaville. « Les seuls qui continuent de tourner sont ceux financés par les acteurs chinois », constate Pierre-Alix Tchiongho, directeur associé chez Ernst & Young Congo.

Le Port autonome de Pointe-Noire (PAPN) a traité près de 620 000 conteneurs EVP en 2014, contre 50 000 au tournant du millénaire (image d’illustration). © ANTONIN BORGEAUD POUR J.A.

Le Port autonome de Pointe-Noire (PAPN) a traité près de 620 000 conteneurs EVP en 2014, contre 50 000 au tournant du millénaire (image d’illustration). © ANTONIN BORGEAUD POUR J.A.

Publié le 3 septembre 2019 Lecture : 1 minute.

Le président congolais Denis Sassou Nguesso, à l’Élysée le 30 septembre 2019. © Kamil Zihnioglu/AP/SIPA
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Congo-Brazzaville : après la tempête…

S’il reprend peu à peu le chemin de la croissance, le pays doit encore faire ses preuves en matière de bonne gouvernance et miser enfin sur l’agriculture et l’essor d’un véritable « green business » écoresponsable.

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Au plus fort de la crise, en 2017, 52 % des entreprises actives dans le pays ont dû réduire leurs effectifs, et beaucoup de sociétés de BTP opérant dans le cadre de projets publics ont cesser tout ou partie de leurs activités car elles n’étaient pas payées. C’est le cas de Sanjose, le constructeur espagnol chargé de la réalisation des nouveaux locaux du ministère de l’Intérieur – pour l’heure suspendue.

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