Mines : Uni à Rangold, Barrick profite de l’envolée de l’or
Au début de l’année, le géant canadien Barrick annonçait sa fusion avec le britannique Rangold. Qu’en est-il aujourd’hui ?
« Nous sommes bien placés pour atteindre nos objectifs. » S’exprimant mi-septembre sur les performances du canadien Barrick depuis sa fusion avec le britannique Randgold, au début de 2019, Mark Bristow s’est réjoui de la conjoncture favorable.
L’once d’or a franchi la barre des 1 550 dollars pour la première fois en six ans, et le leader mondial du secteur anticipe une production annuelle de 5,1 à 5,6 millions d’onces.
Coûts de production au plus bas
Parallèlement, selon le DG de Barrick, les coûts de production devraient se situer au plus bas. L’action Barrick a augmenté de 90 % depuis l’annonce de la transaction avec Randgold.
Dernier satisfecit : Barrick a pu enfin signer en Tanzanie, le 17 septembre, pour 1,2 milliard de dollars, le rachat des 36 % d’Acacia Mining qui lui manquaient. En juin, son offre avait été jugée insuffisante par les actionnaires minoritaires d’Acacia.
L'éco du jour.
Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles