Microfinance : quand la fintech s’inspire de la tontine
Plusieurs start-up proposent des microcrédits à une clientèle ayant habituellement recours à un appui communautaire. Un modèle qui séduit les investisseurs.
![Des utilisateurs de smartphones à Dakar, en mai 2015 (image d’illustration). © Sylvain Cherkaoui pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/09/18/ja15100116020016.jpg)
Des utilisateurs de smartphones à Dakar, en mai 2015 (image d’illustration). © Sylvain Cherkaoui pour JA
Il n’a que 28 ans mais sait déjà parfaitement convaincre les investisseurs. Pour sa cinquième levée de fonds, finalisée le 16 septembre, le Germano-Nigérian Laurin Nabuko Hainy est notamment parvenu à séduire le fonds d’investissement Flourish Ventures du créateur d’eBay, Pierre Omidyar. Avec ce nouveau coup de pouce de 10 millions d’euros, le fondateur de FairMoney, une start-up basée à Paris qui propose des microcrédits en ligne aux Nigérians, veut conquérir de nouveaux pays comme le Ghana ou l’Égypte et attirer plus de clients.
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