À Madagascar, le carburant de la discorde
Depuis juin 2019 et la baisse des prix à la pompe décrétée par le gouvernement malgache – une promesse de campagne du président Rajoelina –, rien ne va plus entre l’État et les distributeurs de carburant.
![Philippe Nicolet, président du Groupement pétrolier de Madagascar, et Vonjy Andriamanga, ministre malgache des Hydrocarbures © JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/08/ja3065_faf.jpg)
Philippe Nicolet, président du Groupement pétrolier de Madagascar, et Vonjy Andriamanga, ministre malgache des Hydrocarbures © JA
Le Groupement pétrolier de Madagascar (GPM), présidé par Philippe Nicolet, directeur général de Galana (qui rassemble, outre cette filiale du négociant français Rubis, les distributeurs Jovena, Total, et Vivo Energy), est vent debout contre la nouvelle « structure de coûts » applicable au second semestre, transmise il y a un mois par le ministre des Hydrocarbures, Vonjy Andriamaga.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)