Cinéma : « L’Âcre Parfum des immortelles », retour sur un demi-siècle de combats dans la France post-68

Dans « L’Âcre Parfum des immortelles », Jean-Pierre Thorn relate un demi-siècle de combats politiques et culturels dans la France post-68.

Nach, danseuse de krump, et Serge Teyssot-Gay, guitariste de Noir Désir. © willy vainqueur/acacias films

Nach, danseuse de krump, et Serge Teyssot-Gay, guitariste de Noir Désir. © willy vainqueur/acacias films

Renaud de Rochebrune

Publié le 22 octobre 2019 Lecture : 2 minutes.

Vétéran des luttes ouvrières, soutien des immigrés et des jeunes des banlieues, auteur de longs-métrages marquants sur les arts de la rue et le mouvement hip-hop, enthousiasmé par la révolte des « gilets jaunes », le cinéaste Jean-Pierre Thorn aurait quelques raisons de désespérer d’un monde dominé par le capitalisme néolibéral et l’individualisme radical.

Il suffit de lui parler quelques minutes à la veille de la sortie de son film autobiographique L’Âcre Parfum des immortelles pour se persuader qu’il n’en est rien. Combatif, il croit plus que jamais aux vertus de la résistance face aux injustices et à ceux qui en sont responsables.

Bien s’informer, mieux décider

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