Jeunes diplômés au Cameroun : entrepreneurs en herbe ou cadres de géants mondiaux
JA est allé à la rencontre des étudiants camerounais des grandes écoles, pour recueillir leurs attentes sur leurs futurs employeurs.
![Cycle ingénieur généraliste de l’Icam à Douala © fernand kuissu](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/25/39813hr_-e1572974789337.jpg)
Cycle ingénieur généraliste de l’Icam à Douala © fernand kuissu
![Devant le prestigieux Institut national polytechnique Félix-Houphouët-Boigny, à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire. © SIA KAMBOU/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/25/39814hr_-e1572974116969.jpg)
Que veulent les jeunes diplômés ?
JA est allé à la rencontre des étudiants des grandes écoles pour recueillir leurs attentes sur leurs futurs employeurs.
Étudiante en master 2 à l’université Saint-Jérôme de Douala, Sebana espère être embauchée dès la fin de sa formation par la Société anonyme des brasseries du Cameroun, filiale du groupe Castel, où elle a déjà effectué un stage.
« Je suis dans la filière gestion de la chaîne logistique. Notre formation nous prédispose à travailler dans tous les segments : achat, production, distribution, transport.
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