VTC : comment Heetch a dompté les taxis au Maroc
Si l’américain Uber a quitté le Maroc l’an passé, son rival français a su s’allier avec les chauffeurs locaux pour devenir leader du VTC dans la capitale économique marocaine.
Mobilité urbaine : où en sont nos métropoles ?
Alger, Abidjan, Casablanca, Bamako : état des lieux de l’accès au transport sur le continent à travers quatre métropoles emblématiques.
Après moins de trois ans d’activité, Uber a mis fin à son aventure marocaine en février 2018, au grand regret de plus de 300 chauffeurs et de 19 000 utilisateurs.
« L’incertitude réglementaire actuelle ne nous permet pas de fournir une expérience sûre et fiable. Tant qu’il n’y aura pas de vraie réforme ni un environnement favorable aux nouvelles solutions de mobilité, nous sommes contraints de suspendre nos opérations », indiquait le géant américain, qui a beaucoup souffert d’une relation tendue avec les taxis, casablancais en particulier.
La loi marocaine exige en effet la détention d’un agrément pour le transport des personnes et dont les chauffeurs Uber ne disposaient pas.
En collaboration avec 5 000 taxis
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