Trafic d’armes, orpaillage, braconnage… Cartographie du financement des groupes armés

Alors que les États peinent souvent à lever l’impôt, les groupes armés, des jihadistes qui sévissent au Sahel aux multiples factions qui s’affrontent dans l’Est de la RDC semblent, eux, n’avoir aucune peine à se financer.

Des armes à proximité d’un véhicule jihadiste détruit, en Diabaly et Tombouctou, au Mali, en 2013 (illustration). © REUTERS/Benoit Tessier

Des armes à proximité d’un véhicule jihadiste détruit, en Diabaly et Tombouctou, au Mali, en 2013 (illustration). © REUTERS/Benoit Tessier

Aïssatou Diallo.

Publié le 19 décembre 2019 Lecture : 1 minute.

Dans le Sahel, comme en Centrafrique ou dans l’est de la RD Congo, les groupes armés paraissent avoir moins de difficultés à trouver des sources de financement que les États qui tentent de les combattre…

De l’exploitation illégale des minerais au trafic de drogues en tous genres en passant par le vol de bétail et le prélèvement de taxes, ces organisations se nourrissent des économies locales. En se posant en bénéficiaires, en intermédiaires ou en régulateurs des activités illicites, elles trouvent les ressources nécessaires pour assurer leur subsistance.

Bien s’informer, mieux décider

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