Algérie : Hocine Benhadid, le « général Bazooka » qui était dans le viseur de Gaïd Salah

De toutes les personnes incarcérées par feu Ahmed Gaïd Salah, l’une est particulièrement emblématique : le général à la retraite Hocine Benhadid.

Hocine Benhadid est remis en liberté le 2 janvier, dans l’attente de son jugement. © SAMIR SID

Hocine Benhadid est remis en liberté le 2 janvier, dans l’attente de son jugement. © SAMIR SID

FARID-ALILAT_2024

Publié le 14 janvier 2020 Lecture : 1 minute.

Abdelmadjid Tebboune, le président algérien, le 19 décembre 2019. © Toufik Doudou/AP/SIPA
Issu du dossier

En Algérie, le président Abdelmadjid Tebboune désormais seul maître du jeu

Le décès inopiné d’Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée et homme fort du régime depuis la chute de Bouteflika, change la donne pour le nouveau président. Qui a décidé de jouer la carte de l’apaisement.

Sommaire

Hocine Benhadid a deux fois fait les frais de la férocité de l’ancien chef d’état-major de l’armée – un trait de caractère sur lequel s’accordaient tous ses amis et collaborateurs. La première incarcération de Benhadid remonte à 2015.

Après avoir évoqué une affaire de mœurs remontant à l’époque Gaïd Salah commandait l’École de formation des officiers de réserve de Blida, il écope d’une peine de prison. Il sera remis en liberté pour raisons de santé après plusieurs mois de détention.

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité