Au sud du Sahara, Veolia lorgne l’Afrique anglophone

Début 2019, Christophe Maquet venait de succéder à Patrice Fonlladosa, remercié après vingt-trois années de services, au poste de directeur Afrique Moyen-Orient. Le numéro un mondial des services à l’environnement traversait alors une période difficile. Un an plus tard, il poursuit sa remise en ordre de marche pour atteindre son objectif : augmenter de 50 % son chiffre d’affaires sur la zone d’ici à 2023.

Un agent de la Société d’exploitation des eaux du Niger (SEEN), filiale de Veolia. © Veolia

Un agent de la Société d’exploitation des eaux du Niger (SEEN), filiale de Veolia. © Veolia

ESTELLE-MAUSSION_2024

Publié le 20 janvier 2020 Lecture : 0 minute.

Si le contrat avec Électricité de Guinée a pris fin en octobre 2019, Veolia s’était vu confier en juin les stations de traitement d’eau de la mine d’Obuasiun exploitée par AngloGold Ashanti au Ghana. Le groupe a aussi finalisé l’acquisition d’une entreprise sud-africaine spécialisée dans le traitement des déchets pour environ 50 millions d’euros.

Deux percées qui témoignent d’un intérêt accru pour le monde anglophone, même si le groupe veut aussi consolider sa position au Maroc (où il est présent à travers Redal, à Rabat, et Amendis, à Tanger) avec de nouveaux contrats, municipaux et industriels.

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