Antiterrorisme : comment le Togo s’organise
La détérioration de la situation sécuritaire au Burkina Faso inquiète les autorités togolaises, qui affinent leur plan antiterroriste.
![Des soldats burkinabè à Ouagadougou en septembre 2015 (image d’illustration). © Theo Renaut/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/06/24/sipa_ap21800810_000001.jpg)
Des soldats burkinabè à Ouagadougou en septembre 2015 (image d’illustration). © Theo Renaut/AP/SIPA
Selon nos sources, Faure Essozimna Gnassingbé a demandé à Yark Damehane, son ministre de la Sécurité, d’accélérer le déploiement régional du Comité interministériel de prévention et de lutte contre l’extrémisme violent (Ciplev).
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