[Chronique] Mauritanie : quelle langue pour les débats au Parlement ?
Quelle langue employer au Parlement mauritanien ? En tout cas, le français, c’est fini.
Si Cheikh Ould Baya, le président de l’Assemblée nationale, a affirmé que prononcer un discours en français dans l’hémicycle n’avait « plus de sens », le français n’en reste pas moins une langue de travail dans l’administration.
Sans être interdit dans les lois et les textes parlementaires, il ne fera plus l’objet d’une traduction simultanée durant les débats. Les orateurs devraient donc privilégier l’arabe, langue officielle, et les trois langues « nationales » (poular, soninké, wolof).
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