« Biens mal acquis » : Malabo toujours à la barre
Un immeuble parisien est au cœur du bras de fer judiciaire entre la France et la Guinée équatoriale.
![« Teodorín » dans la capitale équato-guinéenne, en 2013. © JEROME LEROY/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/02/21/43237hr_.jpg)
« Teodorín » dans la capitale équato-guinéenne, en 2013. © JEROME LEROY/AFP
Alors que Teodoro Obiang Nguema Mangue (« Teodorín ») a été condamné le 10 février en appel à trois mois de prison avec sursis et 30 millions d’euros d’amende dans l’affaire des Biens mal acquis, la Guinée équatoriale tente de se défendre à la Cour internationale de justice (CIJ).
Bras de fer
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