TLCom Capital, l’investisseur qui cible l’élite des start-up continentales

Le fonds TLCom Capital a convaincu plusieurs bailleurs, dont Proparco et IFC, d’injecter 71 millions de dollars dans un véhicule dévolu au continent, de l’amorçage à la série B.

Maurizio Caio, Omobola Johnson, Ido Sum, Andreata MuforoNovember 2019 in Lagos. © TLCom

Maurizio Caio, Omobola Johnson, Ido Sum, Andreata MuforoNovember 2019 in Lagos. © TLCom

QUENTIN-VELLUET_2024

Publié le 1 mars 2020 Lecture : 3 minutes.

Éloigné de la Botte depuis des années, Maurizio Caio n’a rien perdu de sa faconde. « L’investissement d’impact, c’est du colonialisme déguisé », tempête le fondateur et DG italien du fonds TLCom Capital. Cet ancien des équipes de Bain & Company et de McKinsey, présent dans le private equity depuis vingt ans, assume : « Mon but est de créer de la valeur et des entreprises solides pour récupérer de bons retours sur investissement. »

Bien peu doutent du flair de celui qui a su détecter dès sa phase d’amorçage le potentiel de l’« Uber africain pour camions », Kobo360, reconnu disrupteur de l’année à l’Africa CEO Forum 2019. Une perspicacité qui a convaincu plusieurs bailleurs (dont Proparco, CDC Group, IFC) d’injecter 71 millions de dollars dans un nouveau véhicule, bouclé au début de février.

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