[Tribune] Une union africaine face au jihadisme

Il est urgent d’apporter une réponse conjointe entre États africains, et surtout entre régions africaines, afin d’éviter un enlisement de la crise sécuritaire au Sahel.

Un soldat malien ferme une cellule dans laquelle des jihadistes sont détenus, à Gao, le 11 février 2013. © Jerome Delay/AP/SIPA

Un soldat malien ferme une cellule dans laquelle des jihadistes sont détenus, à Gao, le 11 février 2013. © Jerome Delay/AP/SIPA

Portrait 6 Arnauld – Studio Marie Robinet Photographe   (1)
  • Arnauld Akodjenou

    Ex-représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations unies en Côte d’Ivoire. Membre de la Fondation Kofi Annan

Publié le 12 mars 2020 Lecture : 2 minutes.

La crise sécuritaire qui touche les pays du Sahel est désormais une crise régionale, qui s’étend de l’Afrique de l’Ouest à l’Afrique centrale. Des attaques jihadistes sont menées près des frontières ivoiriennes, béninoises et guinéennes. Et le risque de contagion et d’enlisement est encore plus prégnant, compte tenu de la situation au Nigeria, au Tchad et au Cameroun, cibles de Boko Haram.

Malgré

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

[Tribune] Burkina Faso : finissons-en avec la violence terroriste !

Union africaine : les huit dossiers qui ont marqué le sommet d’Addis-Abeba

Contenus partenaires