La veuve de l’ancien président nigérien Ibrahim Baré Maïnassara espère toujours faire juger les assassins de son mari. Dans ce but, elle a saisi la Cour de justice de la Cedeao.
Les affiches des confrontations de la dernière étape pour la qualification à la Coupe d’Afrique des nations au Maroc en 2015 ont été dévoilées dimanche à l’issue d’un tirage au sort, au Caire. Certains pays ont hérité de groupes au niveau bien relevé. Récapitulatif.
Dans le baromètre 2013 des sociétés civiles réalisé conjointement par l’Institut des relations internationales (Iris) et l’ONG catholique CCFD-Terre Solidaire, l’Afrique caracole en tête du classement. Dans le top 10, on retrouve notamment le Sénégal, le Niger, la RDC, le Burundi et le Mali. Mais les critères de l’étude demeurent discutables…
Un coup d’accélérateur a été donné par Bolloré au projet de boucle ferroviaire ouest-africaine. Un changement de rythme lié au regain d’intérêt de potentiels concurrents pour ce dossier. Décryptage.
L’uranium du Niger, au fond, à qui profite-t-il ? À cette question, qui continue de brûler bien des lèvres, il est désormais possible d’apporter des réponses. Jeune Afrique s’y attèle dans son édition n° 2780 en vente dès le 20 avril et révèle en exclusivité le contenu du rapport de l’ONG Open Society sur les dysfonctionnements et l’opacité entourant l’extraction de l’uranium au Niger.
Le Mali et le Cameroun viennent de rétablir l’obligation de visas à leurs frontières, à cause des risques terroristes. D’autres pays africains, au contraires, les ont supprimé. Grâce à une carte interactive, « Jeune Afrique » vous propose de faire le point sur les États qui vous dispensent de cette procédure contraignante, en fonction de votre nationalité.
La famille du président nigérien Ibrahim Baré Maïnassara, assassiné il y a quinze ans à Niamey, a annoncé avoir déposé une plainte devant une Cour ouest-africaine pour obtenir l’ouverture au Niger d’une enquête sur sa mort, a-t-on appris dimanche.
Le maintien de Jean-Yves Le Drian à son poste de ministre français de la Défense était particulièrement souhaité par les présidents Denis Sassou Nguesso (Congo), Idriss Déby Itno (Tchad) et Mahamadou Issoufou (Niger).
Le démarrage des travaux de la première gare ferroviaire de Niamey a été lancé le lundi 7 avril. C’est le premier point de la ligne de chemin de fer Niamey-Cotonou. Cette station devrait bénéficier de l’installation de batteries électriques développées par le groupe Bolloré, partenaire stratégique du projet, qui alimenteront non seulement la gare mais les infrastructures voisines.
D’après Luc Oursel, patron d’Areva, les négociations sur le renouvellement des contrats d’exploitation des deux mines d’uranium du groupe au Niger sont « proches de la conclusion ».
Depuis les récentes interventions militaires françaises au Sahel, les relations entre la France et les États-Unis se sont considérablement réchauffées.
Quatrième partie du grand dossier sur les Forces de défense et de sécurité du Niger (FDS), ce billet fait suite à celui consacré à la coopération sécuritaire entre le Niger et la France. Il présente les programmes européens d’aide au Niger en matière de sécurité et, plus généralement, comment l’Europe applique ces initiatives.
Les autorités nigériennes ont remis Saadi Kadhafi au gouvernement libyen. Le fils de l’ancien « Guide » Mouammar Kadhafi vivait depuis fin 2011 dans une villa de Niamey.
Après avoir présenté la politique de défense du Niger, le rapport des FDS à la démocratie, dans ce nouveau billet, Laurent Touchard évoque la coopération sécuritaire entre le Niger et la France.
Le gouvernement nigérien a signé le 19 février une convention de partenariat avec le groupe français Geocoton pour relancer la filière cotonnière dans le sud-est du pays.
Des enquêtes visant exclusivement des ressortissants du continent, une politique du deux poids deux mesures : les accusations fusent contre la CPI, qui voit sa légitimité mise en doute. Remplit-elle correctement sa mission ? Deux juristes répondent.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé mercredi l’éradication définitive au Niger de la dracunculose ou « ver de Guinée », une maladie invalidante liée à la consommation de l’eau contaminée.
Le vent des années 60 a transporté un nuage radioactif, après un essai nucléaire français en Algérie. Mais qui sème le vent ne récolte pas toujours la tempête. Après de récentes révélations, la prévisible tornade médiatique semble bénigne.
Dans la nuit de dimanche à lundi, la résidence à Niamey du président du Parlement nigérien, Hama Amadou (opposition), a été visée par des tirs d’armes à feu. Aucune victime n’est à déplorer, a annoncé son parti.
Dans un contexte régional miné par le terrorisme et confronté aux conséquences sociales de la quasi absence de développement économique, le Niger est aujourd’hui confronté à d’immenses défis dont la réussite à pour enjeu le maintien de la paix sur le territoire.
Un dirigeant d’un syndicat d’enseignants, Ismaël Salifou, a été écroué vendredi à la prison civile de Niamey, après avoir accordé en janvier un entretien à la radio privée Anfani, ont indiqué samedi des sources concordantes.
Entre Niamey et le géant français du nucléaire Areva, les négociations sur l’exploitation des mines d’uranium patinent. Pour le ministre nigérien des Affaires étrangères, cette affaire doit se régler d’État à État.
Des documents récemment déclassifiés par le ministère français de la Défense apportent un éclairage nouveau sur l’étendue des retombées radioactives des essais nucléaires français des années 60 dans le Sahara. Selon une carte officielle, l’Afrique subsaharienne a elle aussi été touchée.
Négociations avec Areva, emprunt auprès d’une banque chinoise : dans plusieurs dossiers clés, le leader du Moden Lumana Fa reproche à Mahamadou Issoufou, son ancien allié, de manquer de transparence.
Trois journalistes de la radio privée nigérienne « radio Anfan » et le syndicaliste Ismaël Salifou ont été placés en garde à vue mercredi. Leur interpellation, dont les motivations restent floues, suscite des critiques des défenseurs de la liberté de la presse.
Entre lecture de livres sur l’islam et conversations sur Skype, Saadi Kadhafi vit reclus dans une villa de Niamey, sous la surveillance de 30 gendarmes nigériens. La Libye réclame son transfert à Tripoli.