Le président français Emmanuel Macron réunira lundi à Paris des chefs de gouvernement européens et des dirigeants africains pour tenter de conjuguer leurs efforts face à la crise migratoire.
Le Tchad a annoncé mercredi la fermeture de l’ambassade du Qatar à N’djamena en raison des « tentatives (de l’émirat) de déstabilisation du Tchad à partir de la Libye ».
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), en visite mardi au Burkina Faso pour présenter ses condoléances à son homologue burkinabè Roch Marc Christian Kaboré et au peuple du Burkina Faso après l’attaque terroriste de la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août à Ouagadougou, a réaffirmé la nécessité d’unir les forces régionales contre le terrorisme.
Dans son dernier rapport d’août 2017 sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, le Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique Centrale (Gabac) détaille comment les nouveaux moyens de paiement (mobile money, carte prépayée, paiement en ligne) peuvent favoriser la criminalité financière.
La ministre française des Armées, Florence Parly, et son homologue allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, ont affirmé mardi 1er août à Bamako l’engagement de leurs deux pays à élargir le soutien à la création d’une force anti-jihadiste du G5 Sahel. Elles étaient ensemble lundi 31 juillet au Niger. La veille, Florence Parly s’est rendue seule au Tchad.
Les enseignants révoqués de la fonction publique étaient rattachés au ministère tchadien de l’Éducation nationale. Ils seraient coupables «d’abandon de poste », selon un décret signé par le Premier ministre Albert Pahimi Padacké.
Les qualités de cet émulsifiant naturel boostent la demande. Les pays francophones de la zone sahélienne, à commencer par le Mali, sont les mieux placés pour en profiter.
Les parlementaires de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao, 15 pays), de la Mauritanie et du Tchad ont affirmé samedi vouloir limiter à trois le nombre d’enfants par femme afin de faire baisser de moitié, d’ici 2030, le taux de fécondité le plus élevé au monde.
Pas d’annonce sur son agenda officiel, pas de micros ni de caméras sur le perron… Pour recevoir une première fois Idriss Déby Itno (IDI) à l’Élysée, ce 11 juillet à 19 heures, Emmanuel Macron a choisi la discrétion.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a été reçu par son homologue français, Emmanuel Macron, mardi 11 juillet, à l’Elysée. Les jeunes du principal parti d’opposition tchadien, l’Union nationale pour le développement et le renouveau (UNDR), ont publié le jour même une lettre ouverte par laquelle ils demandent aux pays occidentaux, en particulier à la France, de cesser immédiatement « les soutiens de toutes formes au régime illégal et illégitime de Déby ».
Chiffres à l’appui, le gouverneur de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) a balayé le 11 juillet les spéculations entretenues depuis des semaines sur les réseaux sociaux et parfois reprises par des médias.
Mis en selle par l’Ong française Rongead et son partenaire ETC Terra au Burkina Faso, Nkalo propose de conseiller les agriculteurs, notamment sur le prix de vente de leurs céréales. Présente dans sept pays du continent, la start-up veut désormais s’exporter au-delà de l’Afrique de l’ouest.
Le conseil d’administration du FMI a approuvé un accord triennal de 312,1 millions de dollars pour le Tchad, soit 160% du quota du pays, dans le cadre de son programme de facilité élargie de crédit (FEC). Annoncée dans un communiqué publié le 30 juin, cette décision autorise un premier décaissement immédiat de 48,8 millions de dollars.
Lors du 29e sommet des chefs d’État de l’Union africaine, les victimes de l’ancien président tchadien espèrent qu’un fonds d’indemnisation va être créé. Condamné à perpétuité en avril dernier, l’ancien dictateur doit verser 123 millions d’euros.
Le président français Emmanuel Macron a promis dimanche à Bamako d’aider les pays du G5 Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso, Mauritanie, Tchad) à obtenir des financements pour leur force conjointe, mais les a exhortés à en démontrer l’efficacité face aux jihadistes.
Les chefs d’État du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad), avec le président français Emmanuel Macron, se réunissent dimanche à Bamako pour concrétiser leur projet de force conjointe contre les groupes jihadistes, qui reste à financer.
Les chefs d’États des pays du G5 Sahel se rencontrent dimanche 2 juillet à Bamako pour peaufiner les modalités de mise en place d’une force conjointe de 10 000 hommes pour combattre les groupes terroristes qui sévissent dans la région. Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Alpha Barry, revient pour JA sur les enjeux de ce sommet.
Les chefs d’État des pays du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) se réunissent dimanche 2 juillet à Bamako. Principal enjeu de ce sommet : la mise sur pied d’une force conjointe anti-terroriste, annoncée depuis des mois.
En difficulté, le Cameroun bénéficie d’une aide du FMI de 666,2 millions de dollars assortie d’un ajustement peu douloureux. Le Fonds lui demande de moins emprunter et de mieux choisir ses investissements.
En se rendant à Bamako, le 2 juillet 2017, pour assister à un sommet du G5 Sahel avec le Malien IBK, le Burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, le Mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, le Nigérien Mahamadou Issoufou et le Tchadien Idriss Déby Itno, le Français Emmanuel Macron va sans doute adresser deux messages : l’un à Donald Trump, via son représentant à Bamako, et l’autre à IBK.
Le Tchad « sera dans l’obligation de se retirer » des opérations militaires en Afrique « si rien n’est fait » pour aider financièrement le pays qui traverse une sévère crise économique et sociale, a assuré dimanche le président tchadien Idriss Déby Itno.
Certains députés de l’opposition, tels Saleh Kebzabo, jugent « utile, nécessaire, dissuasive et salutaire » leur présence au Parlement tchadien, même si leurs militants et le Front de l’Opposition Nouvelle pour l’Alternance et le Changement (Fonac) leur demandent de partir. Ces derniers estiment que leur législature est arrivée à son terme le 21 juin 2017 et réclament la tenue d’élections législatives.
En cette matinée du 22 avril 1979, un DC8 de l’armée française décolle du Bourget. À son bord, huit officiers et sous-officiers des forces armées nationales tchadiennes, fraîchement sortis de l’école. Parmi eux, le sous-lieutenant Idriss Déby Itno.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté ce mercredi 21 juin, à l’unanimité, une résolution saluant le déploiement d’une force africaine pour combattre les jihadistes dans la région du Sahel. Le projet de résolution, élaboré par la France, a été accepté par la totalité des quinze membres du Conseil, après que Paris et Washington sont parvenu à trouver un accord sur son contenu.
Le Tchad a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire concernant une enquête journalistique sur des présumés biens immobiliers acquis par des Tchadiens au Canada.
Les pays membres du G5 Sahel ont annoncé début juin qu’ils allaient doubler les effectifs de leur forces conjointe, les faisant passer de 5 000 à 10 000. Leurs partenaires occidentaux se demandent où ils comptent trouver les fonds nécessaires.
Le gouvernement tchadien et le consortium conduit par ExxonMobil, qui exploite du pétrole dans le bassin de Doba, dans le sud du pays, ont conclu, la semaine dernière, un accord mettant fin au conflit né d’une amende record, de plus de 4 000 milliards de F CFA, infligée à la major par la justice tchadienne.
Plusieurs Casques bleus tchadiens ayant servi au Mali ont dénoncé cette semaine le non-paiement de leur salaire et de leurs primes auprès du gouvernement et des Nations Unies.
Après l’introduction de la biométrie en RDC, le passeport congolais est devenu l’un des plus onéreux du monde. Mais même à 164 euros pièce, ce n’est pas le le plus cher d’Afrique !
Le géographe Christian Seignobos a parcouru durant cinquante an le bassin du lac Tchad, un crayon à la main. Le résultat s’intitule « Des mondes oubliés. Carnets d’Afrique ».