Le procès de Hissène Habré commence ce 20 juillet à Dakar. Il a fallu quinze pour que s’organise, pour la première fois, le procès d’un ancien dirigeant africain sur le continent. Retour sur les grandes dates qui ont marqué le combat des victimes pour affronter au tribunal celui qu’elles considèrent comme leur bourreau. Une infographie réalisée par la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH).
La liste de ceux qui ont aidé Hissène Habré à imposer son joug aux Tchadiens est longue. Les fantômes de François Mitterrand, Ronald Reagan, Ariel Sharon, Saddam Hussein ou encore Mobutu Sese Seko seront-ils convoqués à la barre ? Deuxième épisode : la relation avec Washington.
La liste de ceux qui ont aidé Hissène Habré à imposer son joug aux Tchadiens est longue. Les fantômes de François Mitterrand, Ronald Reagan, Ariel Sharon, Saddam Hussein ou encore Mobutu Sese Seko seront-ils convoqués à la barre ? Troisième épisode : la relation avec Baghdad.
La liste de ceux qui ont aidé Hissène Habré à imposer son joug aux Tchadiens est longue. Les fantômes de François Mitterrand, Ronald Reagan, Ariel Sharon, Saddam Hussein ou encore Mobutu Sese Seko seront-ils convoqués à la barre ? Quatrième épisode : la relation avec Israël.
La liste de ceux qui ont aidé Hissène Habré à imposer son joug aux Tchadiens est longue. Les fantômes de François Mitterrand, Ronald Reagan, Ariel Sharon, Saddam Hussein ou encore Mobutu Sese Seko seront-ils convoqués à la barre ? Cinquième épisode : la relation avec les autres pays africains.
Alkhali Mahamat Bichara a passé plus de 20 mois en prison où il a été torturé. Un jour, il se retrouve même face à Hissène Habré en personne. À la veille du procès, retrouvez le troisième témoigne de la série consacrée par Jeune Afrique aux victimes du régime Habré.
En 1985, lorsqu’elle est arrêtée pour avoir donné à boire à des rebelles, Ginette Ngarbay est enceinte et c’est dans la prison des « Locaux » qu’elle donnera naissance à sa fille. Deuxième témoignage de la série de Jeune Afrique sur les victimes d’Habré dont le procès s’ouvre lundi à Dakar.
Un soldat tchadien et 19 islamistes ont été tués tôt vendredi matin lors d’une attaque de Boko Haram contre une position de l’armée sur les rives du lac Tchad.
Lundi 20 juillet s’ouvre le procès d’Hissène Habré pour crimes contre l’humanité, crimes de torture et crimes de guerre à Dakar. En 1987, Abdourahamane Gueye a passé huit mois dans les geôles tchadiennes. Premier témoignage de la série que Jeune Afrique consacre aux victimes d’Habré.
Devant la cour, dont les audiences ont été ajournées au 7 septembre, le rôle de l’actuel président tchadien dans le coup d’État de 1982 et dans la violente « pacification » du pays pourrait resurgir…
C’est une première : un pays du continent s’apprête à juger un ancien président pour crimes contre l’humanité. Le Sénégal a trois mois pour mener ce procès, à l’issue duquel le Tchadien risque la perpétuité.
La liste de ceux qui ont aidé Hissène Habré à imposer son joug aux Tchadiens est longue. Les fantômes de François Mitterrand, Ronald Reagan, Ariel Sharon, Saddam Hussein ou encore Mobutu Sese Seko seront-ils convoqués à la barre ? Premier épisode : la relation avec Paris.
Le 20 juillet, vingt-cinq ans après la chute de l’ex-président tchadien, son procès s’ouvrira à Dakar. Retour sur la trajectoire d’un dictateur paranoïaque et sur une décennie de peur, de répression et d’indicibles violences.
Alors que l’armée tchadienne est en première ligne dans l’opération militaire contre Boko Haram, les attentats meurtriers se multiplient à N’Djamena depuis la mi-juin. En un mois, trois attentats ont coûté la vie à plus de 60 personnes, malgré des mesures de sécurité renforcées dans la capitale.
La Banque des Etats de l’Afrique centrale ramène de 4,2% à 2,8% sa prévision de croissance pour la zone Cemac en 2015.
Conséquence d’une conjoncture pétrolière morose et de l’insécurité autour du lac Tchad et en Centrafrique.
L’ancien chef du gouvernement provisoire tchadien, Goukouni Weddeye, a refusé de témoigner contre Hissène Habré devant le tribunal, lors du procès qui s’ouvrira le 20 juillet à Dakar. Il n’estime pourtant pas que celui qui l’a déposé en 1982 est innocent des crimes qui lui sont reprochés. Interview.
Le procès de l’ex-président tchadien Hissène Habré devrait s’ouvrir le 20 juillet à Dakar. Celui-ci est jugé pour « crimes contre l’humanité, crimes de guerre et crimes de torture », affirment lundi les avocats qui représentent plus de 4 000 victimes qui se sont constituées parties civiles.
Onze personnes, dont cinq policiers, ont été tués lundi matin après l’explosion d’un ou plusieurs kamikazes lors d’une opération policière à N’Djamena.
Présent mardi soir aux côtés de Laurent Correau, envoyé spécial de Radio France Internationale (RFI) lors de son expulsion du Tchad, Reed Brody, conseiller de l’ONG Human Rights Watch (HRW), raconte à « Jeune Afrique » les circonstances violentes de ce départ forcé.
Engagé depuis cinq mois dans un combat acharné contre Boko Haram, au Nigeria, au Cameroun et au Niger, le pouvoir tchadien se savait particulièrement exposé aux représailles. Mais les attentats du 15 juin n’ont pas entamé sa détermination.
L’armée tchadienne a mené mercredi des « frappes aériennes » au Nigeria sur des positions des islamistes de Boko Haram en « représailles » au double attentat meurtrier commis lundi à N’Djamena, a annoncé l’état-major de l’armée tchadienne.
Le Tchad a décidé mercredi d’interdire le port de la burqa et du turban pour des raisons de sécurité après le double attentat-suicide qui a fait 33 morts lundi à N’Djamena.
Au lendemain d’un double attentat meurtrier à N’Djamena, le président français, François Hollande, a salué mardi « l’engagement courageux du Tchad contre le terrorisme » lors d’un entretien téléphonique avec son homologue tchadien, Idriss Déby Itno.
Le double attentat-suicide attribué aux islamistes de Boko Haram à N’Djamena « ne restera pas impuni », et ses auteurs « répondront de leurs actes », a assuré mardi le président tchadien Idriss Déby Itno.
Lundi, la capitale tchadienne a été touchée par une série d’explosions visant le commissariat central et l’école de police. Au moins 27 personnes ont été tuées.
Le ministère tchadien de l’Intérieur a confirmé lundi que le commissariat central et l’école de police de N’Djamena avaient été touchés par plusieurs explosions. Au moins 20 personnes ont été tuées.
En visite au Niger et au Tchad, du 3 au 5 juin, le nouveau président du Nigeria, Muhammadu Buhari, abordera les thèmes de la coopération régionale dans la lutte contre Boko Haram.