Le candidat du pouvoir au deuxième tour de la présidentielle malgache, Hery Rajaonarimampianina, était en tête dimanche après le dépouillement d’environ 12,5% des bureaux de vote, alors que les différentes missions d’observateurs estimaient que le scrutin de vendredi avait été libre et démocratique.
Le Centre Carter américain et l’Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique (EISA) ont estimé dimanche que les élections présidentielle et législatives de vendredi à Madagascar ont été libres et démocratiques.
Les Malgaches s’armaient de patience samedi pour connaître le nom de leur futur président, les résultats n’arrivant que très lentement au lendemain d’une élection qui devrait permettre de sortir de la crise dans laquelle est plongé leur pays depuis près de cinq ans.
Depuis vendredi matin, les Malgaches se rendent aux urnes pour le second tour des élections présidentielle et législatives. Des accusations de fraudes se sont faites entendre sans qu’elles soient pour le moment confirmées par les observateurs.
Les Malgaches sont appelés aux urnes vendredi afin de voter pour les élections présidentielle et législatives. Un scrutin qui doit permettre au pays de sortir de trois années de crise depuis le renversement du président Marc Ravalomanana par Andry Rajoelina, en 2009.
L’Égypte en 2010, la Côte d’Ivoire en 2011, la Zambie en 2012. Et en 2013 ? Alors que « Jeune Afrique » s’apprête à publier son quatrième classement annuel des sélections nationales africaines, nous vous proposons de choisir – vous aussi – votre numéro 1. À vos marques, prêts… Votez !
Thamsanqa Jantjie, l’interprète controversé en langage des signes de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela, a été admis, mercredi, dans un hôpital psychiatrique. Quelques jours plutôt, il avait plaidé la schizophrénie pour justifier sa prestation au stade Soccer city de Soweto, en présence de nombreux chefs d’État et de gouvernement.
Alors que la nation sud-africaine rend un dernier hommage à Mandela, un biopic inspiré de ses Mémoires sort en salle. Avec Idris Elba dans le rôle-titre.
Ellen Johnson-Sirleaf et Joyce Banda, les deux seules femmes chefs d’État d’Afrique, n’ont pas fait le déplacement du Sommet de l’Élysée, les 6 et 7 décembre à Paris. Pour des raisons bien disctinctes.
Nelson Mandela, Barack Obama. Les deux hommes ne se sont rencontrés qu’une seule fois, en 2005. Mais sur Twitter, leurs noms figurent côte à côte sur le podium des plus nombreuses mentions jamais enregistrées par le réseau social.
Les cérémonies en hommage à Nelson Mandela n’ont pas permis à Jacob Zuma de faire oublier son impopularité. Le président sud-africain ressort de cette séquence plus fragilisé que jamais et la question de sa candidature à la présidence lors des élections générales de 2014 commence à se poser.
Louis Meintjes, jeune coureur sud-africain de 21 ans de l’équipe MTN-Qhubeka, a été élu lundi cycliste africain de l’année 2013. Il devance d’une voix son compatriote Daril Impey, premier Africain a avoir porté le maillot jaune sur le Tour de France.
Au lendemain des funérailles de Nelson Mandela, une statue géante le représentant, les bras ouverts en signe de réconciliation, a été dévoilée lundi au siège de la présidence sud-africaine à Pretoria.
Le 5 décembre, Madiba s’en est allé. Héros sud-africain, icône continentale, légende planétaire… Il aura révélé ce que l’humanité peut donner de meilleur. Retour sur une vie exemplaire.
Dominique, Patience, Aminata, Sylvia… Dix-sept premières dames ont répondu à l’invitation de la compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler. Qui, manifestement, prend goût au continent.
Le corps de l’ancien président sud-africain Nelson Mandela a été enterré, dimanche à la mi-journée, dans son village de Qunu, au terme de dix jours de funérailles d’État.
Le président sud-africain Jacob Zuma a demandé dimanche à ses compatriotes de faire vivre l’héritage de Nelson Mandela, pour ne pas le décevoir, dans son éloge funèbre au héros de la lutte contre l’apartheid à Qunu (sud).
Des chefs d’État ainsi que des centaines de journalistes sont rassemblés à Qunu, le village de Nelson Mandela, avant son enterrement dimanche. Comme les reporters, la plupart des habitants du village ne pourront pas assister à la cérémonie. Mais ils espèrent bien bénéficier des retombées de l’évènement.
Dès l’ouverture de l’événement, deux ombres ont plané sur l’Élysée. Celle de Mandela, symbole d’union, disparu le 5 décembre. Et celle de la Centrafrique, emportée dans une spirale de violence. Vous avez dit « paix et sécurité » ?
Nelson Mandela, l’icône mondiale de la paix et du pardon, a achevé samedi son très long chemin, en revenant dans sa maison de Qunu, son village d’enfance où il sera enterré dimanche en l’absence de son ami et vieux compagnon de lutte Desmond Tutu, qui n’a pas été invité.
Le prix Nobel de la Paix Desmond Tutu, souvent critique envers le gouvernement sud-africain, a indiqué samedi qu’il n’assisterait pas à l’enterrement de son ami et compagnon de lutte Nelson Mandela dimanche à Qunu (sud), faute d’avoir été invité.
Nelson Mandela, célébré depuis une semaine par le monde entier, devait quitter samedi matin Pretoria pour son dernier voyage vers la terre de ses ancêtres, dans le sud rural du pays, où l’ancien président sud-africain sera inhumé dimanche.
Dans le quartier de Yeoville où se concentrent la plupart des communautés africaines étrangères de Johannesburg, on pleure Nelson Mandela, le grand homme, mais aussi celui qui avait pris leur défense, face aux violences xénophobes. La crainte, plus ou moins fondée, d’être à nouveau pris pour cible n’a pas totalement disparue.
Parmi les personnalités du continent parties rendre un dernier hommage à Nelson Mandela en Afrique du Sud, Pathé Ouédraogo, l’un des tailleurs préférés du père de la nation Arc-en-ciel. Car Madiba, contrairement à d’autres dirigeants, n’hésitait pas à porter des chemises africaines en toute circonstance.
Dans le petit village rural de Qunu (sud), où Nelson Mandela a passé une partie de son enfance, l’heure est aux préparatifs des funérailles du héros de la lutte anti-apartheid. Une cérémonie funèbre qui sera marquée par les rites xhosas.
À 28 ans, Trésor Mputu fait partie des joueurs qui appartiennent au patrimoine de leur club. Le capitaine du TP Mazembe, qu’il a rejoint en 2003, est resté au Katanga pendant dix ans, malgré plusieurs opportunités. Mais aujourd’hui, l’international congolais n’exclut ni de partir ni même de ne pas participer au CHAN en Afrique du Sud avec les Léopards (11-31 janvier 2014). Interview.