Au terme d’une visite de trois jours en Ituri, le président de la RDC, Félix Tshisekedi, a affirmé le 2 juillet que les récents massacres de civils dans cette province du nord-est ressemblaient à « une tentative de génocide » et à un « complot ».
C’est un personnage central dans les relations entre la RDC t la Côte d’Ivoire : Mamadi Diané a notamment facilité la rencontre entre les présidents des deux pays en marge du sommet de l’Union africaine, en février à Addis-Abeba.
Brice Laccruche Alihanga, le directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, a réuni ses proches du gouvernement fin juin, afin de limiter la capacité de nuisance de ceux qui lui attribuent leur limogeage dans le Haut-Ogooué.
Alors que s’ouvrira bientôt le procès des sept militaires jugés pour avoir exécuté plusieurs personnes dans le nord du Cameroun, en juillet 2018, les suspects semblent n’éprouver aucun regret. C’est ainsi, nous explique-t-on, que certains militaires « traitaient » les villageois soupçonnés d’informer Boko Haram sur les mouvements de l’armée.
Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, s’est rendu lundi à la rencontre des déplacés de l’Ituri, au deuxième jour de sa visite dans cette province du nord-est traumatisée par des massacres de civils début juin.
Le porte-parole du gouvernement camerounais a condamné le mouvement de protestation organisé samedi à Genève par les opposants de Paul Biya. Les manifestants avaient été violemment réprimés par la police locale.
Le nouveau gouvernement tchadien, dévoilé dimanche soir par la présidence, ne comporte que peu de changement par rapport à celui nommé en novembre dernier. Seule évolution notable : les cartes de l’exécutif sont rebattues sur les questions sécuritaires : Mahamat Ismaël Chaïbo devient ministre de la Sécurité publique et Mahamat Abali Salah prend la Défense.
Aucun dialogue direct n’a été établi entre les responsables camerounais et les séparatistes anglophones réunis fin juin en Suisse, dont le gouvernement a officialisé son rôle de médiateur dans la crise anglophone au Cameroun.
Détenu depuis le 10 janvier 2017 pour des faits de corruption présumée, l’ex-ministre Magloire Ngambia restera en détention. Une nouvelle demande de remise en liberté a été rejetée par la justice gabonaise.
Arrêté mi-juin en France, l’opposant tchadien Abakar Tollimi, notamment soupçonné de crimes contre l’humanité, a été placé sous statut de témoin assisté après l’ouverture d’une instruction judiciaire.
Le leader du Social Democratic Front (SDF) a été relâché par ses ravisseurs dans la nuit de samedi à dimanche. Il avait été enlevé à son domicile vendredi par des présumés sécessionnistes.
Depuis son acquittement par la CPI, en 2018, l’ex-chef rebelle et ancien vice-président n’est plus le même. Réputé impulsif, il tait désormais ses aversions et se pose en rassembleur de l’opposition.
Avions confisqués, navire de passagers détruits, propriétés immobilières dégradées… Jean-Pierre Bemba réclame 70 millions d’euros à la Cour pénale internationale (CPI), dont 42,4 millions au titre de la perte de valeur de son patrimoine.
Les Lions indomptables ont dominé ce choc du groupe F, sans parvenir toutefois à faire plier le Ghana. Ce match nul leur permet de conserver la tête de leur poule.
Au moins une quarantaine de mineurs sont morts en République démocratique du Congo dans l’effondrement d’une mine sur un site exploité par Kamoto Copper Company (KCC), filiale du géant suisse du négoce des matières premières Glencore, selon le bilan avancé par les autorités congolaises vendredi.
Alors que le Cameroun s’enfonce dans une spirale de violences, l’Union africaine (UA) et les membres africains du Conseil de sécurité des Nations unies – la Côte d’Ivoire, l’Afrique du Sud et la Guinée équatoriale – doivent avoir le courage et la conviction de faire face aux crises urgentes sur le continent.
Le gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a annoncé l’interdiction de la « marche pacifique » prévue le 30 juin à l’appel de la plateforme d’opposition Lamuka, pour le 59ème anniversaire de l’indépendance du pays.
La Suisse a annoncé avoir été mandatée par « une majorité des parties » pour mener une médiation entre le gouvernement et les groupes armés indépendantistes dans les régions anglophones du nord-ouest et du sud-ouest du pays.
Raphaël Katebe Katoto, le demi-frère de l’opposant Moïse Katumbi, est resté membre du Front commun pour le Congo (FCC) et compte toujours parmi les soutiens de l’ex-président Joseph Kabila.
Une mine de cuivre et de cobalt s’est partiellement effondrée jeudi à Kolwezi (sud-est), tuant 39 personnes. La mine est exploitée par la Kamoto Copper Company (KCC), filiale du groupe minier suisse Glencore.
Des tirs de gaz lacrymogènes ont été employés pour ramener le calme à Bonanjo, le centre névralgique de Douala, où une rixe entre des forces de sécurité a créé un mouvement de panique au sein de la population, faisant resurgir le conflit persistant entre les communautés urbaines et les mairies d’arrondissement.
La candidature de Joseph Stéphane Mukumadi au poste de gouverneur de la province du Sankuru, face à Lambert Mende, a finalement été réhabilitée par la Ceni. Félix Tshisekedi a largement contribué à cette remise en selle du candidat indépendant. L’ancien porte-parole du gouvernement sous Joseph Kabila, qui pensait être seul en lice, ne décolère pas.
Okouma : c’est le nom du prochain gisement au Gabon de la Comilog, filiale du français Eramet. Le groupe ambitionne d’atteindre dans le pays une production d’au moins 7 millions de tonnes par an en 2023, et de rester parmi les leaders mondiaux de manganèse, face à une concurrence qui augmente à l’international.
Longtemps, le prélat a été déchiré entre sa famille biologique, celle des Tshisekedi, et l’Église, à laquelle il a consacré sa vie. Fin mai, son neveu de président l’a nommé à la tête de la Maison civile.
Dans un match intense, les Léopards ont rivalisé dans le jeu avec les Pharaons. Mais ils se sont montrés trop maladroits dans le dernier geste pour l’emporter. Les Congolais ont encore une toute petite chance de qualification pour les huitièmes de finale.
En seulement cinq mois, la présidence congolaise à consommé la quasi-totalité de son budget pour 2019, selon un document du ministère du Budget dont Jeune Afrique s’est procuré la copie.
Depuis mardi soir, toutes les équipes ont joué un match. Les gros bras ont majoritairement confirmé leur statut, sans toujours y mettre la manière, alors que des équipes moins attendues ont fait bonne impression.
Il n y aura pas de défilé militaire le 30 juin pour la commémoration du 59e anniversaire de l’accession de la RDC à l’indépendance. Le vice-Premier ministre intérimaire en charge de l’Intérieur et de la Sécurité, Basile Olongo, l’a confirmé à Jeune Afrique, tout en assurant que la décision n’avait pas été prise pour des raisons budgétaires.