Le ministre congolais de l’Agriculture explique en quoi les zones agricoles protégées (ZAP) permettent désormais de mutualiser les efforts, de diversifier les productions, d’augmenter les rendements, de créer des emplois… Et sont en train, enfin, de changer la donne.
Désigné pour identifier une nouvelle majorité à l’Assemblée nationale, le docile secrétaire général de l’UDPS, le parti au pouvoir, bénéficie de la totale confiance – et de la protection – du chef de l’État, Félix Tshisekedi.
Emmanuel Sako Eseye a été discrètement nommé directeur des opérations de la DGRE, en remplacement de James Elong Lobe. Une façon pour Jean-Pierre Ghoumo, patron du service de renseignement, d’asseoir son autorité… et de tourner la page Martinez Zogo.
La tension est encore montée d’un cran en marge du sommet de l’Union africaine, après que la RDC a accusé le Rwanda d’avoir mené une attaque aérienne contre l’aéroport de Goma.
En marge du 37e sommet des chefs d’État de l’UA, qui s’est tenu à Addis-Abeba les 17 et 18 février, le président congolais a multiplié les consultations sur plusieurs dossiers majeurs, qu’il suit de près.
Les assises du dialogue national (1er-30 avril) sont la prochaine étape de la transition militaire gabonaise. À quelques semaines de leur ouverture, peu d’informations ont filtré. Voici ce à quoi il faut s’attendre.
L’offensive lancée début février par le M23, désormais aux portes de Goma, la capitale du Nord-Kivu, fait craindre une régionalisation du conflit. Décryptage en vidéo.
Alors que l’offensive du M23 visant Goma, dans l’est de la RDC, inquiète tant en RDC qu’à l’international, Kinshasa a été le théâtre de manifestations ciblant l’ONU et des chancelleries occidentales. L’analyse de François Soudan.
Dans cette région du nord-est de la RDC, quinze civils ont été abattus. Les responsables locaux et la population accusent les miliciens Codéco. Il s’agit de la deuxième attaque en moins d’une semaine.
Malgré des soupçons de malversations qui entachent encore les activités de l’entreprise, le président du conseil d’administration de la compagnie minière nationale congolaise espère opérer une montée en gamme rapide, avec comme objectif notamment, la transformation locale des minerais.
Journaliste et militant politique, il s’est érigé en porte-parole du septentrion. Son objectif : le retour du Grand-Nord aux affaires – une région qu’il estime lésée depuis que Paul Biya est au pouvoir. Rencontre.
Au milieu de la nuit du 17 février, deux détonations ont été entendues dans le chef-lieu du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC. D’après Kinshasa, « des drones » rwandais seraient responsables des tirs.
L’État gabonais et l’américain Carlyle ont finalisé l’accord de cession des actions d’Assala Energy à l’opérateur national. Et ce, au grand dam du français Maurel et Prom.
Le coup d’État du 30 août dernier a bouleversé la maçonnerie gabonaise, jusque-là dirigée par Ali Bongo Ondimba. Installé le 10 février, le nouveau Grand maître a promu des personnalités compatibles avec le régime qu’incarne désormais Brice Clotaire Oligui Nguema.
Moins d’un mois après avoir été investi pour un second mandat, le chef de l’État congolais est mis à mal par les difficultés de son armée à contrer le mouvement rebelle qui sévit dans l’est de son pays.
Ce 14 février, Hervé Bopda a comparu devant le tribunal de grande instance (TGI) du Wouri, à la suite du dessaisissement du tribunal militaire de Douala pour « incompétence ». Mais le TGI s’est à son tour déclaré incompétent et a renvoyé l’affaire devant le tribunal de première instance de Douala, qui hérite donc de l’affaire.
La banque a exprimé sa volonté d’étendre ses activités en Guinée, en République du Congo et en Zambie, en y créant des succursales. Désireuse d’ouvrir son capital dans le cadre de ce projet, Sofibanque est actuellement à la recherche d’investisseurs.
Prédicateur haineux, homophobe et xénophobe ayant fui le Canada pour éviter une peine de prison, Paul Mukendi poursuit ses activités à Kinshasa. Il est l’un des hommes derrière les appels à manifester contre les chancelleries occidentales en RDC.
Selon les informations de Jeune Afrique, une nouvelle plateforme regroupant plus de 100 partis va être créée au Tchad, afin de soutenir la candidature du dirigeant de la transition à la prochaine élection présidentielle.
Les combats entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la RDC ont redoublé d’intensité autour de Goma, la capitale de la province du Nord-Kivu, dans l’est du pays.
Au Cameroun, alors que les français Fayat et Egis s’apprêtaient à assurer la gestion logistique des 14 péages automatiques, le pouvoir a décidé de récupérer le dossier en mettant fin au contrat du consortium.
Alors que se poursuivent les enquêtes, les associations s’organisent pour accompagner les victimes, lesquelles redoutent toujours de sortir de l’ombre.
Le champion du monde français était ces derniers jours à Brazzaville pour inaugurer son centre de formation. Un projet suivi de près par le chef de l’État.
Le président congolais s’est entretenu avec son homologue des Émirats arabes unis, Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyane. Au menu des discussions : des accords économiques, mais aussi l’épineux dossier libyen.
Lors de sa deuxième visite en moins d’une semaine à Goma, le ministre congolais de la Défense, Jean-Pierre Bemba, a assuré que « tout est mis en œuvre pour la protection des populations ». Mais la ville de Saké reste sous le feu des combats.
Alors que son père, Paul Biya, vient de fêter ses 91 ans, Franck Biya semble vouloir se faire discret et calmer les débats autour de ses éventuelles ambitions. Mais pour combien de temps ?
Polémique à Kigali : pour célébrer l’un de ses buts, le joueur congolais Héritier Luvumbu Nzinga a répété le geste popularisé par son équipe nationale à la CAN en hommage au Kivu. Un mime devenu viral, mais qui met le Rwanda à l’index.
La justice suisse a confirmé la culpabilité de six gardes du corps de Paul Biya. Ils avaient agressé un journaliste de la Radio-télévision suisse (RTS) en 2019, en marge d’une manifestation hostile au président camerounais devant l’Hôtel Intercontinental de Genève.
L’absence prolongée du président du Sénat, soigné en France depuis décembre, continue de soulever beaucoup de questions. Alors que le chef de l’État pourrait décider de le remplacer lors de la session ordinaire de mars, la bataille de succession se poursuit.