Au lendemain de la promulgation de la loi réformant la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en RDC, des voix se lèvent pour critiquer la restructuration de l’organe chargé d’organiser les prochains scrutins provinciaux et sénatoriaux dans le pays. Vital Kamerhe, le leader de l’Union pour la nation congolaise (UNC) et ancien président de l’Assemblée nationale congolaise, livre à Jeune Afrique son regard sur ces évolutions. Interview.
Lancée le 25 mars dernier, l’entrée en bourse du spécialiste gabonais de l’agroalimentaire, Siat-Gabon, peine à avancer. Boudées par les petits porteurs, les souscriptions ont été prolongées de quelques semaines.
Lundi 29 avril a été décrété journée sans médias sur toute l’étendue du territoire, par l’Union des journalistes et professionnels des médias de Centrafrique.
Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Joseph Kabila, a promulgué une loi réformant la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), a-t-on appris le 28 avril. Cet organe avait été très critiqué pour sa gestion des élections générales de fin novembre 2011.
La Centrafrique et l’Afrique du Sud auront désormais des relations formelles d’Etat à Etat, et non des relations fondées sur des liens personnels, a indiqué dimanche à Pretoria le Premier ministre centrafricain Nicolas Tiangaye.
Le gestionnaire de fonds néerlandais XSML a annoncé le tout dernier closing, à 19 millions de dollars, de son fonds pour les PME de RD Congo et de Centrafrique. Deux investisseurs ont décidé de réengager des financements : le FMO et la Fondation Lundin.
Quand deux réalisateurs gabonais se rencontrent dans un maquis, ils se racontent des histoires de cinéma… et celle du pays. Passage à table, avec Philippe Mory et Henri-Joseph Koumba Bididi.
L’un a débarqué à Libreville il y a plus d’un demi-siècle, l’autre au coeur de la Lopé il y a près de vingt-cinq ans. Des origines et des parcours différents, mais un même attachement viscéral au pays dont ils sont devenus, chacun à sa façon, des figures.
Longtemps prise à la légère, la Commission de lutte contre l’enrichissement illicite a déjà instruit des dizaines de dossiers et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
Un savon contre le paludisme, l’hospitalisation de Desmond Tutu, l’attentat contre l’ambassade de France à Tripoli… Les moments forts ont été nombreux ces derniers jours. Revivez avec « Jeune Afrique » toute l’actualité de la semaine en photos.
En juillet 2012, le chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba, s’est vu confier par ses pairs la présidence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac)… et les dossiers en souffrance qui vont avec.
Ministre d’État chargé de la Sécurité, le nordiste Noureddine Adam paraît le seul à pouvoir garder un tant soit peu le contrôle de la situation dans une Centrafrique en proie à l’anarchie et aux pillages.
En visite en RDC, le président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Peter Maurer, a mis en cause les « dysfonctionnements du système juridique » qui maintient les personnes en détention « trop longtemps » sans être jugées. Une des causes majeures des « conditions extrêmement précaires » dans les prisons congolaises, relevées un mois plutôt dans un rapport de l’ONU.
Endetté, le singapourien Olam a décidé de réduire de moitié ses dépenses d’investissement d’ici à 2016 et de réduire sa participation dans l’usine d’engrais du Gabon.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a autorisé, jeudi 25 avril, la création d’une force de 12 600 Casques bleus chargés de maintenir la paix dans le nord du Mali. Ils seront déployés au 1er juillet prochain, si les conditions de sécurité le permettent.
Face au Parti démocratique gabonais (PDG), au pouvoir, les partis sont nombreux. Et incapables de trouver un terrain d’entente pour faire front commun.
Le MNLA, la rébellion armée touarègue du Mali, refuse tout désarmement et « ne veut pas entendre parler » des élections prévues en juillet « tant que de véritables négociations n’auront pas été engagées avec Bamako », a déclaré, le 24 avril, le vice-président du mouvement à Paris.
Les piliers du projet présidentiel ne tiendraient pas longtemps sans fondations solides. Et l’une de celles sur lesquelles le chef de l’État est le plus attendu reste le plan national « Un logement pour tous ».