Les autorités de RDC ont annoncé, lundi 26 novembre, que l’épidémie de fièvre Ebola déclarée en août était terminée. Caractérisé par une période d’incubation pouvant osciller entre 2 et 21 jours, le virus était réapparu dès le mois de mai.
Le chef militaire de la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), le général Sultani Makenga, a accordé à « Jeune Afrique » sa première interview depuis la prise de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu, le 20 novembre. Cet entretien exclusif a été réalisé dimanche 25 novembre.
Coté à Johannesburg, le troisième groupe aurifère du monde AngloGold ne tire plus que 32 % de ses revenus d’Afrique du Sud. Sa croissance, il est parti la chercher en RD Congo, au Mali et en Guinée.
Réunis ce week-end à Kampala, les chefs d’États de la région des Grands Lacs ont exigé l’arrêt des hostilités, le départ des rebelles de Goma avant le mardi 27 novembre et leur retrait à une vingtaine de kilomètres au nord de la ville. Et si une rencontre entre le président Joseph Kabila et chef politique du M23, Jean-Marie Runiga Lugerero, a eu lieu, le bras de fer entre le deux parties se poursuit.
Les efforts diplomatiques s’accentuent pour une sortie de crise en RD Congo, où les rebelles du M23 sont pressés par l’Union africaine de quitter Goma, principale ville de l’est, alors que le chef du M23 espérait dimanche une nouvelle rencontre avec le président congolais Joseph Kabila.
L’Union Africaine (UA) a appelé dimanche les rebelles du M23 qui se sont emparés de la ville de Goma (est de la RDC) à se conformer aux décisions du sommet de Kampala de samedi, notamment à cesser les combats, et a salué « l’engagement » de Kinshasa à prendre en compte les revendications des rebelles.
Les autorités bancaires d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale envisagent de reprendre les échanges de francs CFA que la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) avait unilatéralement suspendus depuis vingt ans.
Les chefs d’Etat africains réunis samedi à Kampala pour un sommet consacré au conflit dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) ont demandé aux rebelles de cesser les hostilités et de se retirer de Goma « d’ici 48 heures ».
L’offensive des rebelles du M23 a marqué le pas vendredi autour de Sake, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), après l’échec d’une contre-offensive de l’armée ayant poussé des milliers de civils à fuir, alors qu’un sommet régional est prévu samedi à Kampala. Des dizaines de civils congolais ont été évacués par pont aérien des territoires tenus par la rébellion de M23 dans l’est de la RDC, a également annoncé vendredi l’ONU à New York.
Plusieurs milliers de femmes sont descendues dans les rue de Kinshasa, ce vendredi 23 novembre, pour exprimer leur colère après la prise de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu (Est), par les rebelles du M23, trois jours auparavant. Ces manifestations avaient pour cible principale la Monusco.
En quittant la ville de Goma, entre le 20 et le 21 novembre, sous la poussée des rebelles du M23, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont laissé derrière elles de nombreuses armes et munitions. Y compris des canons. Diaporama.
L’ONU a indiqué qu’elle envisageait d’utiliser des drones pour la première fois afin de surveiller l’est de la RDC, où la rébellion du M23 a lancé son offensive. Des responsables des Nations unies ont pris contact avec les gouvernements congolais et rwandais.
Les longs-métrages traitant des enfants-soldats ne sont pas légion. D’autant qu’ils ont rarement les faveurs des salles obscures et du box-office. « Rebelle », du canadien Kim Nguyen, au cinéma en France le 28 novembre, pourrait faire exception. Cette aventure humaine à travers les affres d’une rébellion d’Afrique centrale se confronte au public parisien avant de représenter le Canada aux Oscars.
Le port autonome de Kribi devrait être livré dans les temps, en juin 2014. La deuxième phase du projet, d’un coût global de 3,8 milliards d’euros, devrait aboutir en 2018.
L’avancée du Mouvement du 23 mars (M23) vers vers Bukavu est toujours stoppée, vendredi 23 novembre, au niveau de la ville de Saké, à une trentaine de kilomètres de Goma. Les rebelles congolais ont réclamé une nouvelle fois, jeudi 22 novembre, un dialogue avec le président Joseph Kabila.
Le général Gabriel Amisi, chef d’état-major de l’armée de terre de la République démocratique du Congo (RDC), a été suspendu de ses fonctions, jeudi 22 novembre, par le gouvernement congolais. Un rapport de l’ONU l’accuse d’être impliqué dans un trafic d’armes.
Un mois après le passage de François Hollande à Kinshasa, le Premier ministre congolais Augustin Matata Ponyo, en visite à Paris, s’est employé à décrisper l’atmosphère.
La Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) fête à Malabo, le 23 novembre, son 40e anniversaire. L’occasion pour les participants de discuter au cours d’un symposium des perspectives de l’intégration monétaire.
Les combats ont repris jeudi 22 novembre à Saké, localité conquise la veille par les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23). Les forces loyalistes, appuyées par une milice locale maï-maï, ont lancé une offensive contre ces derniers. Une reprise des hostilités qui stoppe l’avancée de la rébellion vers Bukavu, capitale du Sud-Kivu.
Le rapport final de l’ONU sur la RDC, publié le 21 novembre, ne va pas arranger les affaires de l’armée congolaise. Menée par des experts indépendants, l’enquête révèle ainsi que le général Amisi, chef d’état-major des forces terrestres, dirigerait en sous-main un réseau de vente d’armes destinées aux mouvements rebelles de l’est de la RDC. Une accusation qui pourrait fragiliser un peu plus le président Kabila.
Accusé du délit d’homosexualité passible de cinq ans d’emprisonnement, Roger Mbédé comparaissait en appel, mercredi 21 novembre à Yaoundé. Le jugement doit être rendu le 3 décembre.
Joseph Kabila, Paul Kagamé, Yoweri Museveni. Les présidents de la République démocratique du Congo (RDC), du Rwanda et de l’Ouganda étaient réunis mercredi 21 novembre à Kampala pour sommer les rebelles du M23 de se retirer de Goma. La principale ville de l’est de la RDC est tombée mardi aux mains de la rébellion, qui exige que Kabila quitte le pouvoir.
Au lendemain de la prise de Goma, le M23 a convié les éléments des FARDC encore présents dans la ville à se rendre et à intégrer la rébellion. Plus de 2 000 soldats loyalistes et 700 policiers auraient déjà répondu à l’appel, selon le mouvement qui prétend désormais vouloir « aller libérer Kinshasa ».
Il n’aura fallu que quelques heures de combats, mardi 20 novembre, pour que les rebelles du M23 prennent le contrôle total de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu. Sous l’oeil des soldats de la Monusco.
Pour la douzième fois de son histoire, le TP Mazembe est champion de RDC après le refus de l’AS Vita Club de se déplacer à Lubumbashi, dimanche 18 novembre. L’occasion pour Lamine N’Diaye (56 ans), l’entraîneur des Corbeaux, de faire le bilan de la saison, et d’évoquer son avenir.
Ils ont été héros, martyrs et parfois bourreaux… Les années ont passé, leurs épouses leur ont survécu. Habituées aux ors des palais, les anciennes premières dames d’Afrique ont dû apprendre à vivre loin des projecteurs, avec un nom souvent lourd à porter.
La situation est confuse à Goma, capitale du Nord-Kivu (est de la RDC), où la rébellion du M23 prétend avoir pris le contrôle d’au moins une partie de la ville. L’armée congolaise semble avoir abandonné ses positions. Suivez l’évolution des événements en direct.
Vingt-quatre heures après l’offensive sur Goma, les rebelles du M23 ont pris le contrôle, mardi 20 novembre, de l’aéroport et d’une grande partie de la capitale du Nord-Kivu. Le gouverneur de la province, Julien Paluku, dit craindre « le massacre sélectif de personnalités proches du pouvoir de Kinshasa » par les nouveaux maîtres de la ville.