Dans une adresse à Bukavu, le prix Nobel de la paix 2018 s’est dit « inquiet » pour le processus électoral, et il a souhaité galvaniser la jeunesse. Esquisse d’une candidature ?
Entre un patriarche vieillissant et un ministre aux dents longues, l’Extrême-Nord, région ô combien stratégique de la vie politique du Cameroun, se cherche un chef.
Le Congo s’est résolu à diminuer de 30 % ses aides aux carburants, comme l’exigeait le FMI. Une manne que Brazzaville devrait investir dans les dépenses sociales.
Déterminé à rentrer au Tchad, qu’il a quitté à la suite des manifestations d’octobre 2022, l’opposant à Mahamat Idriss Déby Itno élabore un plan d’action. En attendant les résultats de la médiation qu’il a engagée avec le pouvoir, le patron des Transformateurs multiplie les contacts à l’étranger.
Le climat se crispait à Libreville ce dimanche, au lendemain des élections générales. Le gouvernement a annoncé un couvre-feu et la suspension de l’accès à Internet pour parer à « la propagation d’appels à la violence ». L’opposition, elle, dénonce des fraudes.
La campagne électorale aura officiellement duré deux semaines et, ce 26 août, les Gabonais étaient appelés aux urnes pour choisir notamment leur président et leurs députés.
Alors que les résultats, contestés, du référendum constitutionnel viennent d’être officialisés, les tractations battent leur plein dans l’entourage de Faustin-Archange Touadéra pour l’attribution de la primature, de la vice-présidence et de la présidence de l’Assemblée nationale.
Au Gabon, ce 26 août, parmi les trois scrutins qui se déroulent simultanément, l’un d’entre eux concentre tous les efforts et les regards : l’élection présidentielle, que compte bien remporter le chef de l’État sortant.
Comme en 2018, le patron de l’Union pour la nation congolaise a choisi de voter pour le chef de l’État sortant à la présidentielle. En exclusivité pour Jeune Afrique, il explique son choix.
Soupçonné de s’être insuffisamment mobilisé lors de la dernière présidentielle, le Parti démocratique gabonais aura été, cette fois, en première ligne pour les élections générales de ce 26 août 2023.
L’inspecteur général des Finances est en première ligne pour dénoncer la « résistance » des entreprises chinoises dans le cadre du « contrat du siècle » et fait pression pour que les termes en soient renégociés. Jeune Afrique fait le point sur les coulisses de ces discussions « difficiles ».
Après l’alerte donnée par ses questeurs, le président de la chambre basse du Parlement a crée un comité chargé d’évaluer sa situation financière pour éviter le défaut de paiement. Jeune Afrique remonte aux origines de la crise.
Pendant son dernier septennat, le président gabonais s’est attelé à diversifier une économie largement dominée par l’industrie pétrolière, avec des réalisations notables. Cependant, nombre de ses engagements restent à tenir.
L’ancien ministre gabonais de l’Enseignement supérieur, professeur d’économie, a été désigné non sans surprise pour représenter l’opposition lors du scrutin présidentiel du 26 août.
Près de dix ans après sa libération au terme de dix-sept années de prison, l’ancien secrétaire général de la présidence alerte sur les dangers qui guettent le Cameroun. Interview.
Côte d’Ivoire, Afrique du Sud, Canada, Ghana… Plusieurs bureaux de vote où étaient inscrits des électeurs vivant à l’étranger ont été fermés à quelques jours des scrutins du 26 août.
Depuis plus de dix ans, l’environnement et le développement durable sont une composante essentielle de la diplomatie congolaise. Retour sur les principaux enjeux, à quelques semaines du Sommet des trois bassins forestiers tropicaux, qui se tiendra à Brazzaville du 26 au 28 octobre.
Après une suspension de six mois qui, dans les faits, n’a pas été appliquée, le service de mobilité urbaine est autorisé à reprendre du service pour « une durée d’un an renouvelable ». Les raisons d’un tel revirement.
Il y a quelques mois encore, Fortunat Biselele était l’un des plus influents conseillers du président congolais. Son acquittement, prononcé ce mardi 22 août, lui ouvrira-t-il la voie à un retour en grâce ?
Ces dernières semaines, à mesure que la date des élections présidentielle, législatives et locales se rapproche, une certaine fébrilité semble peu à peu gagner les autorités gabonaises. Plusieurs mesures et décisions suscitent des questions.
En visite dans le nord du pays, le président de la transition tchadienne a adopté un discours martial après la reprise des hostilités avec deux groupes rebelles. Il affirme leur laisser le choix : la paix ou la guerre.
La direction de la cinématographie et des productions audiovisuelles (DCPA) du ministère de la Culture du Cameroun a interdit « oralement » la diffusion du film à succès « Barbie ».
En RDC, l’ancien conseiller de Félix Tshisekedi était accusé de trahison et d’atteinte à la sûreté de l’État. La chute de cet influent sécurocrate, en janvier dernier, avait été retentissante.
L’ONG décrit « un contexte de tensions politiques accrues » et pointe des « intimidations » récurrentes, notamment à l’encontre du parti de Moïse Katumbi, Ensemble pour la République.
Une personne a été interpellée dans le cadre de l’enquête sur la mort du vice-consul de France à Douala, dont la dépouille avait été découverte à son domicile le 18 août. Insuffisant à ce stade pour lever le flou qui entoure ce drame.
Samedi 26 août, trois scrutins doivent se dérouler simultanément, dont l’élection du président de la République, un poste convoité à nouveau par Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 2009. Face à lui, l’économiste Albert Ondo Ossa, candidat de la plateforme d’opposition Alternance 2023.