Ricky Agusa Sukaka, travailleur humanitaire congolais de l’association Caritas a été tué après son enlèvement par deux hommes en uniforme, en République Démocratique du Congo.
Mi-figurative mi-réaliste, l’œuvre de l’artiste kinois offre une « vision chromatique de la civilisation bantoue ». Où le rouge, symbole de joie et de vie, l’emporte.
Parodiant aussi bien les films français et chinois que les grosses productions américaines ou le septième art africain, le Camerounais signe un spectacle énergique et désopilant.
S’élevant contre son camp, qui a plébiscité Ali Bongo pour être candidat du PDG à la présidentielle, Casimir Oyé Mba, membre du parti et ancien Premier ministre (1990-1994), est officiellement candidat à la succession d’Omar Bongo.
Sans surprise ni suspense, le président sortant a été réélu au premier tour avec, officiellement, plus de 78 % des voix. Malgré les protestations de l’opposition.
Zacharie Myboto a été investi pour représenter l’Union gabonaise pour la démocratie et le développement lors de la présidentielle du Gabon. Plusieurs fois ministre, l’opposant avait perdu la présidentielle de 2005.
Ali Bongo Ondimba, fils du défunt chef de l’État, est le candidat du PDG à l’élection présidentielle du 30 août. André Mba Obame, l’ancien ministre de l’Intérieur, et Jean Eyeghe Ndong, Premier ministre démissionnaire, sont eux aussi entrés en lice. Comme indépendants.
Le Soudan a porté plainte devant le Conseil de sécurité de l’ONU contre le Tchad, accusant son voisin d’avoir mené un raid aérien sur le Darfour (ouest) la semaine dernière, a annoncé lundi son représentant aux Nations unies.
Ali Bongo Ondimba, 50 ans, fils du défunt président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, a été investi candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) pour la présidentielle du 30 août, dimanche lors d’un congrès extraordinaire où il s’est posé en rassembleur.
La présidente intérimaire du Gabon Rose Francine Rogombé a nommé vendredi Paul Biyoghé Mba au poste de Premier ministre, après la démission vendredi de Jean Eyéghé Ndong, qui a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle du 30 août.
Homme de lettres et homme d’État, le poète et ministre des Hydrocarbures congolais est mort le 4 juillet. Puisant dans la musique les ingrédients de son lyrisme, il aura créé son propre langage.
À l’affiche du Festival d’Avignon, dans le sud de la France, avec sa pièce Les Inepties volantes, le Congolais est l’une des figures du renouveau dramatique du continent.
Dans son rapport publié jeudi, l’ONG Human Rights Watch dénonce l’impunité dans laquelle agissent les troupes congolaises des FARDC, accusées de crimes sexuels « endémiques » dans le pays. La hiérarchie militaire dément ces allégations.
Directement affectée par la crise mondiale, l’économie nationale tourne au ralenti. Et si les affaires courantes sont assurées, le meccano mis en place par l’ancien chef de l’État durant plus de quarante et un ans entre dans une période de turbulences.
La Commission électorale gabonaise a proposé mercredi soir d’organiser le 30 août la présidentielle devant désigner le successeur d’Omar Bongo, décédé début juin. Un scrutin pour lequel le parti au pouvoir a choisi Ali Bongo, fils du défunt, pour représenter ses couleurs.
Ali Ben Bongo Ondimba, fils du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, a été « choisi » mercredi par le bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) comme candidat à l’élection présidentielle anticipée, a affirmé à l’AFP un responsable du PDG.