L’avocat de Jean-Pierre Bemba a demandé la remise en liberté de son client, accusé de crimes imputables à sa milice en Centrafrique de 2002 à 2003. L’accusation craint que l’ancien vice-président de la RDC, s’il recouvre la liberté, tente de fuir.
À la suite du remaniement du 19 juin, André Mba Obame perd le ministère de l’Intérieur. Pour sa part, le Premier ministre n’exclut pas de se porter candidat à la présidence. Les hostilités sont ouvertes.
Candidat pour un nouveau mandat à la présidentielle du 12 juillet, le chef de l’État congolais ne semble guère douter de sa victoire face à des concurrents aussi déterminés que divisés. Transparence du scrutin, critiques de l’opposition, bilan du septennat écoulé, affaire des « biens mal acquis », disparition d’Omar Bongo Ondimba… Entretien avec un homme toujours aussi sûr de lui-même et de son destin.
Les chefs d’Etat africains se retrouvent à partir de mercredi à Syrte, en Libye, sous la présidence de Mouammar Kadhafi qui met la pression sur son projet controversé de « gouvernement africain » alors que le continent est confronté à des crises menaçant la stabilité de plusieurs pays.
Le fils aîné de Marc-Vivien Foé a rendu hommage dimanche à son père, décédé en 2003 lors d’un match de la Coupe des Confédérations. L’adolescent, qui s’exprimait avant la finale de cette compétition, a été chaleureusement acclamé par les supporters.
Des jeunes ont appelé Ali Ben Bongo, fils du chef de l’Etat décédé Omar Bongo, à se présenter à la prochaine élection présidentielle. Ils ne seraient pas membres du Parti démocratique gabonais, au pouvoir.
Le musicien camerounais Manu Dibango, qui a lancé en France une procédure judiciaire pour plagiat visant Michael Jackson, a rendu hommage à cet artiste américain décédé jeudi à l’âge de 50 ans, en le saluant comme le « plus talentueux et ingénieux » du monde.
Des critiques contre le régime Omar Bongo commencent à s’élever. Les récriminations s’élèvent dans la société civile mais aussi dans le propre camp du président gabonais décédé début juin en Espagne.
Les réactions se multiplient sur le continent africain suite à la mort de Michael Jackson, jeudi, aux Etats-Unis. La plupart saluent la grandeur de l’artiste mais certains, notamment en Côte d’Ivoire, peinent à lui pardonner ses frasques.
Ali Bongo a rendu hommage au chanteur américain Michael Jackson, décédé jeudi à Los Angeles. Le ministre gabonais de la Défense se souvient notamment de lui comme du « premier artiste qui s’est imposé dans le monde entier, à toutes les races ».
A deux semaines de la présidentielle du 12 juillet, le chef de l’Etat congolais, candidat pour un nouveau mandat, est un homme serein. Dans un entretien exclusif accordé à Jeune Afrique, il explique pourquoi il va gagner et livre ses vérités sur tous les sujets : l’affaire des « biens mal acquis », la transparence du scrutin, les critiques de l’opposition et les menaces de boycott de l’élection présidentielle, l’éventualité d’une nouvelle constitution, la disparition d’Omar Bongo Ondimba.
La campagne pour la présidentielle a commencé ce vendredi. Le 12 juillet, un peu plus de deux millions d’électeurs sont appelés à choisir entre treize candidats, dont le président sortant Denis Sassou Nguesso.
Michael Jackson s’est éteint jeudi à Los Angeles (Etats-Unis) à l’âge de 50 ans. Au cours de sa carrière, le roi de la pop avait développé des liens spéciaux avec l’Afrique.
L’opposition gabonaise demande qu’en dépit du délai de 45 jours prévu par la Constitution, l’élection présidentielle pour désigner le successeur d’ Omar Bongo ne soit pas organisée avant 5 à 6 mois.
Un des principaux opposants gabonais, Pierre Mamboundou, a dénoncé mardi « une action militaire en préparation » pour faire échouer la transition constitutionnelle en cours depuis le décès du président Omar Bongo, sans toutefois étayer ses accusations.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a appelé mardi le gouvernement de République démocratique du Congo (RDC) à réformer son système pénitentiaire, après le viol d’une vingtaine de détenues lors d’une tentative d’évasion de militaires incarcérés dans une prison.
Le 15 juin, les magistrats de la Cour pénale internationale ont rendu leur décision : le leader de l’opposition sera renvoyé en jugement, à une date encore inconnue.
Orphelin de son fondateur, le mouvement présidentiel doit choisir son représentant pour la prochaine élection. Ali Bongo Ondimba semble avoir pris une longueur d’avance, mais ses rivaux sont nombreux et puissants.
Avec les obsèques du président Omar Bongo Ondimba, le pays a tourné une page de son histoire. Désormais, c’est sa succession qui focalise toutes les énergies.