Le gouvernement Muzito hérite d’un contexte difficile. Respectant le fragile équilibre politique, il devra reprendre le contrôle de l’Est et rassurer des Congolais impatients.
Alors que tout le Nord-Kivu est directement menacé, comment expliquer que les forces gouvernementales n’aient pas su s’opposer à l’agression des rebelles de Laurent Nkunda, pourtant cinq fois moins nombreux ?
Près de 70 journalistes soudanais ont été interpellés par la police pendant un rassemblement pacifique contre la censure devant le Parlement à Khartoum, selon des témoins et journalistes.
La rébellion de Laurent Nkunda a « lancé des attaques » dimanche dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), en violation de son propre cessez-le-feu, a affirmé la Mission des Nations unies en RDC (Monuc) dans un communiqué.
La rébellion de Laurent Nkunda est toujours positionnée près de la ville de Kanyabayonga, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), alors que l’émissaire de l’ONU, Olusegun Obasanjo, est attendu à Kinshasa pour trouver une solution à la crise.
Pendant que le pays spéculait sur le nom du successeur d’Antoine Gizenga, Joseph Kabila avait déjà fait son choix. Avec un objectif, respecter l’accord politique conclu lors de l’élection présidentielle de 2006. Parmi les priorités du nouveau promu, rétablir la paix dans l’est du pays.