Cerveau de l’opération qui, en mars 2004, devait renverser le président équatoguinéen Obiang Nguema, Simon Mann a écopé de trente-quatre ans de prison. Retour sur l’un des plus lamentables fiascos de l’histoire du mercenariat.
Pour contrer l’arrivée de la concurrence, le groupe français a investi 91 milliards de F CFA, depuis cinq ans. Et compte bien poursuivre malgré les incertitudes sur l’actionnariat de la maison mère.
À la question du financement, qui est loin d’être réglée, s’ajoutent de nombreuses lenteurs au sein de la machine judiciaire. Le procès de l’ancien dictateur tchadien ne semble pas près de démarrer.
Ingénieurs, enseignants, commerçants, chefs d’entreprise, cadres en tout genre… Mais aussi retraités et aventuriers. Et, surtout, beaucoup de binationaux. La présence française est multiforme.
Le groupe français, gestionnaire du chemin de fer du Cameroun, veut faire pression sur le gouvernement pour qu’il participe au programme d’investissements.
La plupart des Africains installés en Europe envoient les trois quarts de leur salaire au pays. Gaston-Paul Effa brise ce tabou dans un roman qui évoque le poids de la famille.