Dans un Congo marxiste-léniniste et agité par des complots à répétition, le jeune président meurt assassiné, le 18 mars 1977. Mais par qui et pourquoi ? Dans JA, à l’époque, Sennen Andriamirado évoquait plusieurs pistes.
Lors du sommet de Yaoundé du 17 mars, les dirigeants des six États de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale ont recommandé un élargissement, au niveau ministériel, de la réflexion entamée par la banque centrale régionale et la Commission de la Cemac.
Faut-il maintenir le calendrier électoral, qui prévoit que la présidentielle se tienne en décembre prochain, ou s’assurer d’abord de reprendre le contrôle des territoires tenus par le M23 ? Une question qui s’invitera à la session parlementaire de ce mois de mars.
Les appels à un remaniement se multipliant au sein même de son camp, le chef de l’État centrafricain réfléchit à remplacer Félix Moloua. Mais la manœuvre est risquée, alors qu’il tente de verrouiller son accession à un troisième mandat. Coulisses d’un casse-tête.
L’affaire Martinez Zogo a jeté une lumière crue sur les pratiques du contre-espionnage camerounais. Son directeur général et son directeur des opérations ont été inculpés. Des espions sont-ils devenus tueurs à gages ? À quel moment le système a-t-il failli ? Plongée au cœur de la DGRE.
Le comité ministériel de l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac), à Yaoundé, en a eu la primeur le 15 mars. Les représentants de la Centrafrique y ont annoncé avoir soumis un projet de loi modifiant et complétant certaines dispositions de la loi du 22 avril 2022 sur la cryptomonnaie, à quelques heures du sommet de la Cemac.
Exilé aux États-Unis, où il tente de recueillir le soutien des Américains et de l’ONU, l’opposant reste décidé à contrecarrer le pouvoir de Mahamat Idriss Déby. Recours à la lutte armée, possible partition du Tchad, chances de dialogue… Il répond aux questions de Jeune Afrique.
Selon les informations de Jeune Afrique, le parti de Félix Tshisekedi tente de s’offrir les services de l’expert électoral… arrêté par l’ANR il y a quelques jours. Explications.
Relations entre le président et son ministre de la Justice, lutte des clans, crise anglophone, loi sur la double nationalité… L’avocate et défenseure des droits de l’homme aborde les dossiers brûlants de l’actualité camerounaise.
Attendue depuis près de deux ans, la prochaine conférence des chefs d’État de l’organisation régionale se tient ce 17 mars à Yaoundé. Au menu des discussions, des annonces fortes, notamment sur la réforme du Franc CFA.
Courant février, un ressortissant français a été arrêté à la frontière entre le Rwanda et la RDC. Détenu à Kinshasa, il n’a été libéré que le 2 mars, deux jours avant l’arrivée d’Emmanuel Macron dans le pays.
Chef d’orchestre des scrutins censés se tenir le 20 décembre 2023, le patron de la commission électorale assure qu’ils se tiendront dans les délais, et accuse certains de chercher à discréditer le processus.
Au Cameroun, le discret homme d’affaires – il n’apparaît pas dans notre classement des 500 Champions africains – vient de concrétiser ses projets dans l’hôtellerie et les boissons, et envisage de se lancer dans la banque. Des initiatives qui en appellent d’autres, en particulier dans l’agroalimentaire.
Les entreprises minières de RDC ne cessent de gagner des places dans notre classement régional des Champions africains. Elles sont désormais trois dans le Top 10, dont une à la première place, contre aucune il y a à peine cinq ans.
Dans un courrier adressé au président en exercice de l’Union africaine, le chef de l’État rwandais a mis en cause la régularité de l’élection de Kaseya à la tête de la plus grande agence de santé en Afrique.
Si le président Félix Tshisekedi souhaite que les hydrocarbures jouent le rôle de locomotive économique pour « sortir du tout minier », ses ambitions se heurtent, pour l’instant, à la réticence des majors.
Sans surprise, c’est la formation du chef de l’État qui devrait – largement – remporter le scrutin. Le seul « suspense » concerne l’identité du président de la Chambre haute du Parlement.
Un projet de loi qui pourrait permettre à des groupes armés actifs de coopérer officiellement avec les FARDC dans leur lutte contre le M23 a été adopté le 3 mars en Conseil des ministres.
Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) du président Paul Biya, 90 ans, devrait remporter largement les élections sénatoriales qui ont débuté le 12 mars au suffrage indirect. Avec, en toile de fond, l’enjeu de la succession du chef de l’État.
L’Angola a annoncé le 11 mars que Luanda allait envoyer une unité militaire en RDC, après l’échec du cessez-le-feu qu’il avait contribué à négocier entre les troupes gouvernementales et les rebelles du M23.
Transition démocratique, influence de Wagner, militaires au pouvoir… L’ancien Premier ministre tchadien revient pour Jeune Afrique sur les tensions qui traversent la région.
En exil à Bissau depuis le 3 mars, François Bozizé réaffirme publiquement son engagement dans la rébellion de la Coalition des patriotes pour le changement. L’ex-chef de l’État centrafricain dit aussi vouloir poursuivre son combat pour renverser Faustin-Archange Touadéra.
Le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, remet ce 10 mars à Malabo le prix de l’Unesco pour la recherche en sciences de la vie. Une cérémonie dont les coulisses politiques n’ont rien d’anodines…
L’élection présidentielle en RDC étant fixée au 20 décembre prochain, la coalition de Félix Tshisekedi, qui devrait en principe soutenir sa candidature, finalise enfin son architecture interne. Elle devrait être dirigée par six personnalités. Explications.
Une délégation du Conseil de sécurité des Nations unies a entamé ce 9 mars une visite de trois jours en RDC, où les combats opposant le M23 et l’armée se poursuivent malgré le cessez-le-feu.
Fils d’un haut dignitaire de Mobutu, Kahumbu Mandungu Bula a aussi été l’un des hommes au cœur du rapprochement entre le chef de l’État et les Émirats arabes unis.
Dans l’est de la RDC, les rebelles affiliés au groupe État islamique ont exécuté au moins quarante personnes. Le bilan de leurs attaques s’élève à près de 150 tués depuis le début de l’année.
Les rebelles se sont rapprochés de la capitale régionale, malgré la présence de l’armée congolaise, appuyée par des groupes armés locaux et la force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est.
Du côté de la République démocratique du Congo comme du côté de la France, les réseaux sociaux s’émeuvent du spectacle offert par le ministre congolais des Communications et le chef de l’État français à la terrasse d’un maquis de Kinshasa.
Nommé le 6 mars, le magistrat camerounais Florent Aimé Sikati II Kamwo a commencé à analyser les éléments recueillis par les enquêteurs après l’assassinat de l’animateur de radio. Un travail sous haute surveillance.