Un premier contingent a été déployé dans l’est de la RDC dans le cadre de la force régionale de l’EAC. Sa mission : « imposer la paix » face au M23. Une véritable gageure dans une zone où tant de pays ont des intérêts particuliers.
Alors que de violents affrontements ont encore opposé plusieurs groupes armés à la rébellion dans l’est du pays, le M23 a fait cette annonce le 6 décembre.
La vidéo de l’agression d’un youtubeur algérien, lundi 5 décembre, par le président de la Fecafoot a largement circulé sur les réseaux sociaux. Selon l’entourage d’Eto’o, l’affaire est plus complexe qu’il n’y paraît.
Après s’être rapprochés il y a quelques mois, le PPRD et Ensemble pour la République devaient se réunir, chacun de son côté, pour déterminer la marche à suivre à l’approche de la présidentielle de 2023. Un scrutin auquel Félix Tshisekedi se présentera.
À l’issue d’un procès de masse à huis clos, la justice a prononcé des peines de deux à trois ans de prison ferme pour 262 des manifestants arrêtés lors des rassemblements meurtriers d’octobre dernier.
Par la signature d’un accord portant sur des accusations de corruption en RDC, le géant du trading s’est engagé à verser 180 millions de dollars à Kinshasa.
Laudateur invétéré de Paul Biya et redoutable homme d’affaires, le sénateur RDPC est devenu incontournable dans le département de l’Océan. Mais à quelques mois des élections régionales, il fait face à des adversaires de plus en plus nombreux.
Paul Kagame avait accusé Félix Tshisekedi de profiter de la crise provoquée par la rébellion du M23 pour repousser l’élection présidentielle. Le dirigeant congolais l’accuse, en retour, d’être un « faiseur de guerre ».
Un séisme de magnitude 5,5 a secoué l’ouest du Gabon dimanche 4 décembre, selon l’institut de géophysique américain USGS. Il n’a pas fait de victime et n’a provoqué que des dégâts légers, selon un premier constat du gouvernement.
Des marches ont été organisées dimanche 4 décembre par l’Église catholique pour protester contre les violences dans l’est de la RDC, où la rébellion du M23 campe sur ses positions, cinq jours après un massacre de civils dont l’accuse Kinshasa.
Un deuil national de trois jours a débuté samedi 3 décembre en RDC après le massacre présumé de civils dans l’est du pays. Le gouvernement évoque désormais un bilan de plus d’une centaine de morts.
Quatre jours après l’attaque de Bossangoa, le déroulé des événements se précise. Et le regard des autorités centrafricaines se tourne de plus en plus vers l’ancien président François Bozizé, exilé au Tchad, et ses fils, très actifs dans la sous-région.
Même s’ils battent le Brésil, les champions d’Afrique ne sont pas assurés de se qualifier pour les 8e de finale de la Coupe du monde. Il faut dire que leur séjour qatari ne se déroule pas en toute sérénité.
Au moins 50 personnes auraient été tuées à Kisheshe, à 70 km au nord de Goma, dans l’est du pays. Le mouvement rebelle a rejeté les accusations de l’armée congolaise.
Après neuf mois de tergiversations, le gouvernement congolais a publié l’accord le liant au groupe Ventora, appartenant au milliardaire. Il s’agissait, notamment, d’une demande du FMI.
La trêve obtenue au sommet de Luanda, le 23 novembre, n’aura duré que cinq jours. Les combats ont repris ce 1er décembre, à 70 kilomètres au nord de Goma.
Dans un discours d’État ce mercredi, le président rwandais s’est montré très virulent. Se défendant de tout rôle dans la crise qui secoue l’est du pays voisin, il a rejeté la responsabilité sur son homologue congolais.
Remis en liberté provisoire, Delfim Nevès continue de dénoncer « un montage pour le faire éliminer ». Des enquêtes sont ouvertes sur le coup d’État déjoué du 25 novembre et le décès de quatre personnes.
Deux jours après l’attaque du camp de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes, l’entourage de Faustin-Archange Touadéra et celui de Mahamat Idriss Déby Itno ont pour principal suspect François Bozizé. Explications.
Pierre-Alain Mounguengui a été invité par la Fifa à assister au Mondial. Sa présence, alors qu’il est accusé de ne pas avoir dénoncé un scandale de pédophilie, suscite de nombreuses réactions.
Le mandat du président de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), nommé le 31 octobre 2017, est arrivé à expiration le mois dernier. Mais le changement escompté tarde à se produire. Explications.
Depuis que les positions de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes de Wagner ont été frappées à Bossangoa le 28 novembre, la tension monte à Bangui. Le gouvernement affirme en coulisses détenir les preuves d’une offensive préparée par la CPC, qui utiliserait des bases arrière au Tchad.
D’après Bangui, l’aéronef aurait franchi les frontières du pays, au Nord, et aurait bombardé la ville de Bossangoa. L’appareil aurait pris pour cible les bases militaires centrafricaine et russe, ainsi qu’une usine de coton.
En tournée dans le Nord au début de novembre, dans l’un des bastions de son père, Franck Biya a fait ses premiers pas en politique. Sans fonction officielle, mais influent à Etoudi, il fait de plus en plus figure de dauphin.
L’un est le fils du défunt président, l’autre est son ancien ministre des Affaires étrangères. Mais, entre le dirigeant de la transition et le patron de la Commission de l’UA, qui pensent déjà au scrutin de 2024, la tension monte.
Un éboulement est survenu le 27 novembre lors d’une cérémonie de commémoration à des personnes décédées durant l’année. Les recherches ont repris ce lundi matin.
Qu’ils tiennent les rênes du pays ou s’opposent au président, ils ont en commun d’être devenus de redoutables agro-entrepreneurs. Entre politique et plants de maïs, Jeune Afrique vous fait découvrir le visage des hommes de pouvoir à Yaoundé.