Plusieurs milliers de personnes ont défilé samedi 22 octobre à Bangui pour demander un référendum constitutionnel et permettre au président Touadéra de briguer un troisième mandat, un projet dénoncé par l’opposition.
Français ou Camerounais ? Sportif ou chanteur ? Fou du roi ou monarque ? L’ex-tennisman brouille les pistes tout en creusant le même sillon. Il sort son douzième album…
Après l’élimination dès le second tour de la Ligue des champions africaine du club dont il est propriétaire et président, l’ancien gouverneur du Katanga a pris des décisions radicales. De quoi refaire briller l’étoile des Corbeaux et la sienne, par la même occasion ?
Laure Olga et Paul-Marie Gondjout, tous deux membres de l’une des plus emblématiques familles gabonaises, ne devraient pas apporter leur voix au candidat du Rassemblement pour la patrie et la modernité, lors de l’élection prévue l’an prochain.
Au moins une cinquantaine de personnes ont été tuées ce jeudi, selon le bilan des autorités tchadiennes. Le résultat macabre d’un bras de fer entre une opposition jugée radicale et un pouvoir de transition qui peine à imposer sa légitimité.
Pendant onze ans, il fut le tonitruant porte-parole du gouvernement de l’ancien président. Désormais passé dans le camp de Félix Tshisekedi, il ne « regrette rien de ses choix ». Et milite pour que son nouveau champion effectue un second mandat.
Le Premier ministre tchadien a également annoncé la « suspension de toute activité » des groupes d’opposition après des violences survenues dans plusieurs villes du pays.
Entendu par l’Inspection générale des finances quelques jours avant sa fuite, le directeur général de la compagnie aérienne congolaise avait retracé le curieux parcours d’un chèque de 612 500 euros, officiellement destinés à régler des arriérés de salaires. JA a pu consulter en exclusivité les procès-verbaux d’audition.
Policiers et manifestants s’affrontent ce jeudi dans la capitale, où des centaines de personnes se sont réunies à l’appel de l’opposition pour protester contre la prolongation de la transition et le maintien au pouvoir de Mahamat Idriss Déby Itno.
Dès la reprise du procès pour l’assassinat de Luca Attanasio, qui avait commencé le 12 octobre, l’un des avocats a demandé à ce que le tribunal se déclare incompétent. Ce dernier rendra sa décision le 26 octobre. Le procès a été suspendu.
Depuis que la Cour constitutionnelle a mis un coup d’arrêt au projet de réforme de Faustin-Archange Touadéra, sa présidente, Danièle Darlan, est sur la sellette. Menacée d’une mise à la retraite, elle continue de s’opposer au chef de l’État centrafricain.
Le président congolais poursuit son vaste remaniement de l’armée, écartant des figures de l’ère Kabila de postes clés. Le général Tshibangu a été nommé dans le Kasaï tandis qu’à l’Est, un successeur à Philémon Yav a été désigné. Mais une polémique est venue éclipser ces décisions stratégiques.
Après avoir prôné le boycott, le principal opposant au chef de l’État a annoncé que son parti, le MRC, participerait aux prochains scrutins. Dans sa ligne de mire : la présidentielle de 2025. Un changement de stratégie dont le régime se serait bien passé.
Depuis l’officialisation du projet de réforme constitutionnelle du chef de l’État, la contestation s’organise à la chambre des députés autour de son président, Simplice Mathieu Sarandji. Lequel tente de rassembler au sein de la majorité comme de l’opposition.
L’infraction de « lèse-majesté » paraît anachronique. La plus haute juridiction congolaise milite pourtant pour un durcissement de la peine d’outrage au chef de l’État.
Un calendrier électoral devrait être publié d’ici à la fin de novembre, mais les prochains scrutins suscitent toujours de nombreuses interrogations et une certaine tension entre la commission chargée de les organiser et l’exécutif.
Pour mener à bien l’acte II d’une transition politique entamée le 20 avril 2021, le fils du maréchal tué au front a choisi de cohabiter avec un ancien opposant historique de 75 ans dont il est impossible de mettre en doute l’engagement au service de la démocratie.
Ce 14 octobre, Mahamat Idriss Déby Itno a nommé un gouvernement d’union nationale, sur proposition du Premier ministre Saleh Kebzabo. L’ancien rebelle Tom Erdimi y fait notamment son entrée, aux côtés du diplomate Mahamat Saleh Annadif.
Visé par plusieurs plaintes, l’homme d’affaires camerounais n’en poursuit pas moins ses activités depuis la Centrafrique, Dubaï et la Russie. Selon les informations de Jeune Afrique, il a passé un accord avec la chaîne de télévision Russia Today.
Après avoir fait l’objet de deux audits concernant ses volets infrastructures et mines, le contrat signé avec la Chine en 2008 se retrouve désormais dans le viseur de l’Inspection générale des finances (IGF).
Grâce à ses zones économiques spéciales, le Gabon s’engage dans la voie d’un développement industriel durable. Avec ses 144 entreprises et des indicateurs dans le vert, la ZES de Nkok a fait la preuve de son efficacité.
Cible d’une motion de défiance portée par des députés de la majorité, le ministre des Transports, Chérubin Okende Senga, est menacé de destitution. Il fait les frais de la rivalité naissante entre le chef de l’État et l’ex-gouverneur du Katanga.
Le Groupe d’action financière (Gafi), chargé de lutter contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, menace de placer la RDC sur sa « liste noire ». L’administration de Félix Tshisekedi se démène pour éviter ce revers. Coulisses.
Saleh Kebzabo a été désigné, mercredi 12 octobre, Premier ministre du gouvernement de transition. Un choix stratégique pour le président Mahamat Idriss Déby Itno.
Derrière la plus grande enquête jamais organisée par l’administration du pays se cache la rivalité entre le ministre des Finances, Louis-Paul Motaze, et l’un de ses principaux rivaux Ferdinand Ngoh Ngoh, le puissant secrétaire général de la présidence.
Le chef de l’État, décidé à obtenir le droit de se présenter en 2026 pour un nouveau mandat, devrait-il se méfier de son propre camp ? Le président de l’Assemblée nationale mène la fronde en coulisses.
Mahamat Idriss Déby Itno a annoncé lundi 10 octobre, lors de son investiture comme président de la transition, la formation prochaine d’un gouvernement d’union nationale.