En provenance de Johannesburg, l’avion de Thomas Boni Yayi n’a finalement pas atterri à Bujumbura. L’UA aurait pourtant demandé au président béninois d’y aller pour tenter de relancer le dialogue entre le pouvoir et l’opposition. Que s’est-il passé ?
Les forces gouvernementales et les rebelles des régions frontalières du Soudan se tiennent prêts pour une reprise des combats après l’ajournement des pourparlers de paix le 24 novembre, qui avaient échoué à trouver un accord en vue d’un cessez-le-feu.
Lors d’une réunion du bureau politique de son parti, le Front patriotique rwandais (FPR), le président Paul Kagamé a dénoncé dimanche l’ingérence de la communauté internationale dans les affaires intérieures de son pays. Allusion faite aux critiques émises après l’adoption de la réforme constitutionnelle au Rwanda.
L’agence kényane pour le développement de la culture du thé (KTDA) a obtenu un prêt de 55 millions de dollars auprès de quatre institutions de développement afin de financer la construction de sept petites centrales hydroélectriques.
L’Union européenne et le Burundi vont entamer mardi à Bruxelles des consultations sur les atteintes à la démocratie au Burundi, une procédure susceptible de conduire à la suspension de l’aide européenne, a indiqué jeudi une porte-parole de l’UE.
La Chine s’apprête à construire une base militaire dans la petite République, sur la route maritime la reliant au Moyen-Orient. Et d’autres devraient suivre…
Renaissance du chemin de fer, construction de quartiers résidentiels, rénovation du patrimoine… L’État ne lésine pas sur les moyens pour rendre à la capitale son lustre d’antan et attirer les visiteurs.
Des officiers de l’armée française, dont le chef de l’opération Turquoise au Rwanda en 1994, ont réfuté les accusations « invraisemblables » et « monstrueuses » de complicité de génocide portées par des associations parties civiles dans une enquête menée à Paris.
Selon l’Unicef, la situation des enfants-soldats au Soudan du Sud n’a pas évolué depuis 2013. Celle-ci s’est même dégradée depuis le début de l’année 2015. L’agence des Nations unies révèle qu’ils seraient plus de 16 000 enrôlés de force dans les rangs des factions armées depuis le début du conflit.
Les violences se poursuivent au Burundi où les assassinats ciblés et les attaques contre la police sont devenus quasi-quotidiens. Au moins sept personnes ont été tuées et douze autres blessées depuis mardi soir, ont indiqué mercredi la police et des responsables locaux.
Ainsi que J.A. le laissait entendre la semaine dernière, le départ de Serge Mucetti de son poste d’ambassadeur de France à Djibouti – il est persona non grata à la présidence – est désormais acté.
Vingt et un ans après le génocide des Tutsis, l’étau judiciaire se resserre autour de plusieurs officiers de l’armée française qui assuraient le commandement ou l’exécution de l’opération « militaro-humanitaire » Turquoise, déployée par Paris dans l’ex-Zaïre et au Rwanda fin juin 1994, sur mandat de l’ONU.
Exposé aux prédateurs sous un couvert végétal de plus en plus clairsemé, le francolin somali, symbole national, risque de disparaître. À moins que l’État ne préserve son écosystème.
Au moins 34 policiers ont été tués et environ 300 blessés depuis le début, fin avril, du mouvement de contestation au troisième mandat du président burundais Pierre Nkurunziza, selon un document officiel du ministère de la Santé publique consulté mardi par l’AFP.
Parmi les trois « options » proposé lundi au Conseil de sécurité par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, celle menant à l’envoi d’une « équipe de soutien » chargée de promouvoir un dialogue politique entre pouvoir et opposition semble tenir la corde.
Un membre du personnel est décédé et une quarantaine d’étudiants ont été blessés lundi dans une université de Nairobi, lors d’un exercice de sécurité avec une simulation d’attaque terroriste qui a provoqué un mouvement de panique, ont annoncé l’établissement et la police.
La première visite du souverain pontife sur le continent africain s’est faite sous le signe d’un appel à la paix sociale et religieuse. Le pape François s’est rendu dans des lieux symboliques de chacun des pays visités pour porter son message.
Le 27 juin 1977, lorsque Djibouti, le dernier confetti de l’empire français, parvient à s’extraire du joug colonial, ils ne sont pas légion ceux qui croient à la viabilité de sa souveraineté.
Réputé pour son travail à la tête de l’Autorité des ports et zones franches, le président de l’Autorité des ports et zones franches de Djibouti a une nouvelle mission : créer un gigantesque complexe logistique de 3 500 hectares.
Ambassadeur de France à Djibouti depuis mars 2014, Serge Mucetti a décidément du mal à boucler ses affectations dans les délais usuels (trois ans, en règle générale).
C’est le chiffre annoncé par l’Unicef , qui dénonce de « graves violations des droits des enfants, dont des assassinats et des enlèvements » à travers le pays.
Annulation de la fête nationale, interdiction de l’impression des cartes de vœux : les économies drastiques du président nouvellement élu font réagir la twittosphère.
À quelques heures de la visite du pape François en Ouganda, le Parlement a adopté vendredi une loi controversée concernant les ONG, en octroyant le pouvoir de refuser l’enregistrement de certaines organisations à une commission mise en place par le gouvernement.
Recep Tayyip Erdogan, John Kerry, Ban Ki-moon, Shinzo Abe… Les visiteurs de poids se bousculent au portillon djiboutien, soucieux de bénéficier de sa position stratégique.
Le pape François a condamné vendredi l’injustice vécue par les habitants des périphéries abandonnées par une minorité de puissants qui concentrent le pouvoir et la richesse. Et a dénoncé une nouvelle forme de colonialisme en Afrique.