Une personne a été tuée par balle à Bujumbura dans la nuit de vendredi à samedi, marquée par des tirs nourris et une série d’attaques à la grenade, a-t-on appris auprès de la police et de témoins.
Le coureur érythréen Daniel Teklehaimanot, l’un des deux premiers cyclistes noirs africains à s’être élancés sur la Grande Boucle, est devenu jeudi le tout premier à porter le maillot à pois du meilleur grimpeur, son plus grand « rêve de gamin ».
Les autorités burundaises ont pris acte de la nouvelle demande de report de la présidentielle par la Communauté des États de l’Afrique de l’Est lundi. Hors de question, pour autant, de repousser la date du scrutin au delà du 26 juillet, dit un ambassadeur burundais aux Nations unies.
Deux candidats déclarés à la présidentielle ougandaise de 2016, Amama Mbabazi et Kizza Besigye, ont été arrêtés jeudi par la police. On leur reproche de participer à des activités politiques alors que la campagne officielle n’a pas encore été lancée.
Le coureur érythréen s’est illustré jeudi 9 juillet en remportant à l’arrachée le maillot à pois. Une victoire pour son équipe MTN-Qhubeka, première formation africaine à participer à la grande boucle.
La présidentielle au Burundi, prévue le 15 juillet, pourrait être reportée. Face à Pierre Nkurunziza qui tient à briguer un troisième mandat controversé, sept candidats sont en lice. Mais certains ne se présentent que pour faire de la figuration…
L’Éthiopie est la « meilleure destination touristique au monde », selon le Conseil européen du tourisme et du commerce. Le deuxième pays le plus peuplé en Afrique a été choisi parmi 31 candidats pour la richesse de son héritage historique et culturel.
Le chef de l’État n’a jamais été aussi confiant : la CPI a renoncé à le poursuivre, et Barack Obama s’apprête à venir lui rendre visite. Courtisé de toutes parts, Kenyatta a l’embarras du choix.
Emprisonnés pour terrorisme en Éthiopie, quatre journalistes et deux blogueurs ont été relâchés mercredi et les poursuites dont ils faisaient l’objet ont été abandonnées.
Frederick Golooba-Mutebi est chercheur indépendant et éditorialiste à l’hebdomadaire The East African. Il a répondu aux questions de Jeune Afrique sur le Front patriotique rwandais (parti au pouvoir).
Profondément marqué par les années de guerre et de clandestinité, le Front patriotique rwandais (FPR, parti au pouvoir) a modelé le pays à son image, instillant ses valeurs dans toutes les couches de la société. Retour sur l’histoire mouvementé d’un parti particulier.
Les militants kenyans anti mariage gay attendent de pied ferme le président américain qui prépare sa première visite officielle dans le pays de son père. L’homophobie n’est-t-elle pas partagée par tout le continent ?
Selon les résultats provisoires des législatives publiés mardi, l’opposition burundaise a remporté 21 sièges alors qu’elle a appelé au boycott du scrutin. Une situation qui pourrait se reproduire à l’issue de la présidentielle si les bulletins de vote restent inchangés. Explications.
« La guerre civile ne connaîtra pas de fin à moins d’une démission du président Salva Kiir », a averti mercredi le chef des rebelles sud-soudanais Riek Machar.
Les États-Unis ont nommé le 6 juillet un nouvel envoyé spécial pour la région des Grands Lacs en remplacement de Russ Feingold. Tom Perriello, diplômé de Yale, a notamment été conseiller du procureur au Tribunal international pour la Sierra Leone.
Western Union et l’opérateur télécoms ont lancé un service permettant aux clients de MTN en Côte d’Ivoire et au Rwanda de recevoir directement dans leur portefeuille mobile des fonds transférés depuis une des agences du groupe américain.
Selon les résultats provisoires des législatives du 29 juin publiés mardi par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) du Burundi, le parti présidentiel a remporté 77 des 100 sièges de l’Assemblée nationale.
Les premières manifestations ont éclaté au lendemain de la désignation de Pierre Nkurunziza par son parti, le CNDD-FDD, comme candidat à la présidentielle pour un troisième mandat. Depuis, le pays est plongé dans la crise. Retour sur les événements clés.
Le médiateur de l’ONU au Burundi, le Sénégalais Abdoulaye Bathily, n’a pas l’intention de céder à la demande du parti au pouvoir, le CNDD-FDD, qui a réclamé sa démission dimanche. Pour lui, son mandat est déjà terminé et il appelle maintenant les chefs d’États africains à prendre leurs responsabilités. Interview.
Une nouvelle websérie, réalisée par la Rwando-Allemande Amelia Umuhire, gagne en popularité. « Polyglot » explore les multiples identités des jeunes de Berlin, la capitale de l’Allemagne.
Au risque d’embraser le pays, Pierre Nkurunziza, le chef de l’État burundais, réprime l’opposition et impose son calendrier électoral, les yeux rivés sur un seul objectif : obtenir un troisième mandat le 15 juillet. Analyse.
Ils ont fait leurs valises à la veille d’élections législatives et communales contestées, qui se sont tenues le 29 juin. Avec Pie Ntavyohanyuma, le président de l’Assemblée nationale, qui a lui aussi fui le Burundi clandestinement, Gervais Rufyikiri, le deuxième vice-président, faisait partie des quatre principaux personnages de l’État après le président Pierre Nkurunziza.
Léonard Ngendakumana, un des généraux à l’origine du coup d’État avorté de mi-mai au Burundi, a affirmé sur une télévision kényane que les putschistes entendaient chasser le président Pierre Nkurunziza du pouvoir.
Les dirigeants de la Communauté est-africaine (CEA) ont à nouveau demandé lundi aux autorités burundaises de reporter la présidentielle au 30 juillet. Réunis en sommet, ils ont nommé le président ougandais Yoweri Museveni à la tête de la médiation.
La crise burundaise continue de réserver le même sort à ses médiateurs onusiens : le désaveu. Le parti au pouvoir, le CNDD-FDD, a réclamé dimanche la démission d’Abdoulaye Bathily, nommé récemment en remplacement de Saïd Djinnit, poussé vers la sortie par l’opposition.
Le gouvernement sud-soudanais a annoncé dimanche que, si les faits dénoncés par l’ONU étaient avérés, il punirait les membres de son armée coupables de violations des droits de l’homme.
Une vague de répression initiée par le gouvernement kényan contre la production et la distribution clandestine d’alcool frelaté a fait plusieurs morts et blessés, a-t-on appris samedi auprès d’un porte-parole de la présidence.