Un étudiant est mort et quelque 150 ont été blessés dimanche sur un campus de Nairobi dans un mouvement de panique suscité par l’explosion d’un câble électrique qui a fait craindre une nouvelle attaque islamiste, a annoncé à l’AFP le vice-président de l’université de Nairobi.
Le Kényan Mark Korir, 30 ans, a remporté dimanche la 39e édition du marathon de Paris en 2 heures 05 minutes 48 secondes, son premier succès de prestige dans un marathon international.
Une dizaine de milliers de militants du parti au pouvoir au Burundi ont défilé samedi à Bujumbura, pour démontrer l’unité de leur mouvement, où monte la contestation au sujet d’une éventuelle nouvelle candidature du chef de l’Etat sortant à la présidentielle.
Mené tambour battant, le nouveau roman de James A. Levine nous entraîne au pas de course à la poursuite de Bingo, enfant débrouillard du plus gros bidonville de Nairobi.
Selon la BBC, la chaîne n’a pas enfreint sa charte éditoriale en diffusant « Rwanda’s Untold Story ». Accusé de faire « la promotion du négationnisme » du génocide des Tutsis, le documentaire de Jane Corbin suscite l’indignation.
Les élections générales soudanaises, présidentielle et législatives, se déroulent les 13, 14 et 15 avril. Quelque 13 millions d’électeurs, pour une population estimée à près de 38 millions de personnes, sont appelés aux urnes. Au pouvoir depuis 25 ans, le chef de l’État Omar el-Béchir est assuré d’être réélu face à 15 concurrents peu connus, alors que la plupart des partis de l’opposition boycottent l’élection.
Après le massacre perpétré jeudi 2 avril dans l’université de Garissa par un commando Shebab, le gouvernement kényan passe à l’offensive sur le plan financier. Il espère couper les terroristes de leur soutien en enquêtant sur les compagnies de transfert d’argent.
Le groupe Marck et Ineo Support Global, filiale de GDF Suez, vont collaborer pour la fourniture d’équipement aux policiers et aux soldats mis à la disposition de l’ONU par les États africains.
Le groupe bancaire kényan Equity Bank a annoncé son intention de consacrer environ 200 millions d’euros pour s’implanter dans dix nouveaux pays. En commençant par l’Éthiopie, la RD Congo et le Burundi, puis en continuant vers l’Afrique australe.
Après l’attaque meurtrière contre l’université de Garissa, il est urgent pour le président kényan de réduire le danger terroriste – au lieu de le minimiser en espérant faire revenir les touristes…
Avant ce week-end et la libération réussie de l’otage néerlandais Sjaak Rijke, détenu depuis plus de trois ans par Aqmi au Mali, plusieurs Occidentaux ont perdu la vie en Afrique lors d’opérations de sauvetage ratées menées par les forces spéciales de leurs pays respectifs.
Vingt et un ans après le génocide des Tutsis, François Hollande va rendre accessibles aux chercheurs les archives de la présidence de la République française sur le dossier rwandais. Une initiative accueillie positivement même si elle reste très prudente.
C’est un pas historique que vient de franchir la présidence française en annonçant, mardi 7 avril, la déclassification de ses archives sur le Rwanda de 1990 à 1995, et donc sur le génocide des Tutsis en 1994.
Un sixième suspect a été arrêté mardi par la police kényane. Cinq Kényans et un Tanzanien sont désormais soupçonnés d’avoir apporté leur aide au commando islamiste qui a pris d’assaut jeudi à l’aube l’université de Garissa.
La campagne pour sa réélection a déjà commencé. Et le chef de l’État rwandais, Paul Kagamé, n’entend pas recevoir de leçons de l’étranger quant à une éventuelle révision de la Constitution. Pour lui, les choses sont claires : « 2017, c’est l’affaire du peuple. » Entretien.
L’aviation militaire kényane a bombardé lundi en Somalie deux camps des islamistes somaliens Shebab, qui ont revendiqué l’attaque le 2 avril de l’université de Garissa (148 morts), a annoncé un porte-parole de l’armée kényane.
Après une enfance tourmentée et des années à poser sa voix dans une chorale de gospel, le chanteur rwandais Mani Martin entend bien prendre la parole sur des questions politiques.
Les autorités kényanes ont annoncé avoir identifié l’un des quatre assaillants dont les corps ont été retrouvés à l’issue des 16 heures de siège : il s’agit d’un jeune Kényan d’ethnie somali, diplômé en droit et apparemment promis à un brillant avenir.
Des rebelles de la région du Kordofan-Sud au Soudan ont affirmé dimanche s’être emparé d’un camion transportant des urnes destinées aux élections générales prévues la semaine prochaine. Ils ont promis de perturber le vote dans cette zone touchée par une révolte armée.
La majorité chrétienne du Kenya fêtait dimanche Pâques, endeuillé par le massacre d’étudiants de l’université de Garissa commis par un commando islamiste, alors qu’un des assaillants a été identifié comme un jeune Kényan diplômé.
Le Kenya entame dimanche trois jours de deuil national à la mémoire des 148 victimes, essentiellement des étudiants, de l’attaque de l’université de Garissa (est) perpétrée par les islamistes somaliens shebab.
Les autorités kényanes ont annoncé samedi interroger cinq suspects, présumés liés à l’attaque de l’Université de Garissa par les islamistes somaliens shebab qui, 48 heures à peine après le massacre, ont promis au Kenya une « longue et épouvantable guerre ».
Des proches d’étudiants de l’université kényane de Garissa où les shebab ont tué 148 personnes cherchaient toujours désespérément des nouvelles de leurs enfants vendredi, alors que des détails du massacre commençaient à émerger et que Nairobi redisait sa détermination à combattre les islamistes somaliens.
À deux mois des élections, le président Nkurunziza a fort à faire. Contesté au sein même de son parti, il a aussi dû assister, impuissant, à l’évasion de son grand rival, Hussein Radjabu.
L’attaque de l’université kényane de Garissa, qui a fait 147 morts jeudi, à 150 km de la frontière avec la Somalie, prouve que les islamistes Shebab ont digéré la mort de leur chef en novembre 2014. Quel sont leurs forces et leur pouvoir de nuisance dans la sous-région ?
Un commando a pris d’assaut jeudi à l’aube le campus de l’université de Garissa. L’attaque, revendiquée par les Shebab somaliens a duré près de 16 heures. Au moins 147 personnes ont été tuées, et 79 blessées.
Café, immobilier, hôtellerie… Malgré la mainmise des entreprises publiques sur l’économie, de plus en plus d’hommes d’affaires parviennent à s’enrichir dans des domaines en pleine expansion.
L’attaque de l’université kényane de Garissa (Est) jeudi par les islamistes somaliens Shebab a fait au moins 147 morts. Le bilan le plus lourd depuis l’attentat au camion piégé perpétré contre l’ambassade américaine à Nairobi en 1998.
Le Kenya s’est engagé en 2011 dans la lutte contre les Shebab en Somalie. Depuis, le pays paie cher cet engagement sur son propre sol. Le groupe islamiste y commet des attaques toujours plus sanglantes.
Selon les autorités kényanes, au moins 147 étudiants ont été tués jeudi à l’université de Garissa, dans l’est du Kenya, attaquée à l’aube par des islamistes somaliens shebab.