Alors que les négociations ont repris mardi à Addis-Abeda, les forces pro-gouvernementales sud-soudanaises ont assuré que la reprise du contrôle de Bor, capitale de l’État du Jonglei (Est), n’était plus « qu’une question d’heures ».
Encore confidentiel, le rapport final des experts de l’ONU sur la RDC apporte de nouvelles révélations… Sur ses accusations de soutien « continu » du Rwanda au M23, mais aussi sur l’affaiblissement des FDLR, la menace ADF, ou l’appui présumé de l’ancien chef de la police congolaise, John Numbi, aux miliciens Kata Katanga.
Les négociations de paix entre le gouvernement sud-soudanais et la rébellion menée par l’ex-vice président Riek Macha ont officiellement commencé lundi. Sur le terrain, les combats se sont intensifiés ce weekend et se sont poursuivis.
Le président soudanais, Omar el-Béchir, est arrivé lundi matin à Djouba pour s’entretenir avec son homologue sud-soudanais, Salva Kiir, des combats qui sévissent au Soudan du Sud depuis trois semaines.
De violents combats se poursuivaient dimanche dans différentes régions du Soudan du Sud, a déclaré l’armée, alors que des pourparlers directs entre les deux camps qui s’affrontent depuis trois semaines devaient débuter en Ethiopie.
Des pourparlers directs entre belligérants au Soudan du Sud sont attendus dimanche à Addis Abeba, après une première rencontre samedi qui n’a pas fait cesser la violence sur le terrain où des tirs d’artillerie ont retenti à proximité du palais présidentiel à Juba
L’ouverture prévue samedi de pourparlers directs entre les deux camps en conflit au Soudan du Sud a été retardée, ont déclaré les délégations, fragilisant l’espoir d’un rapide cessez-le-feu dans un pays au bord de la guerre civile.
Des négociations sur un cessez-le-feu au Soudan du Sud se sont ouvertes vendredi à Addis Abeba, qui doivent se transformer samedi en pourparlers « directs », mais sur le terrain les combats s’intensifiaient avec l’avancée annoncée par l’armée de ses troupes vers la ville stratégique de Bor.
Des négociations pour mettre en place un cessez-le-feu au Soudan du Sud se sont ouvertes vendredi à Addis Abeba. Elles doivent mettre fin à près de trois semaines de combats meurtriers entre les forces du président Salva Kiir et celles de l’ex vice-président Riek Machar.
Les délégations du président sud-soudanais Salva Kiir et de son rival et chef de la rébellion, l’ex vice-président Riek Machar, peinaient jeudi soir à entamer des pourparlers de paix à Addis-Abeba, en Éthiopie.
La police sud-africaine a annoncé, jeudi, l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de la mort de l’opposant rwandais Patrick Karegeya, à Johannesburg.
Claver Gatete, ministre rwandais des Finances et de la Planification économique le martèle : « Aucun État au monde n’utilise son argent aussi efficacement que le Rwanda ». Alors, quelles sont les recettes de Kigali pour attirer les investisseurs privés après le retrait de plusieurs bailleurs ?
Le Congrès national du Rwanda (RNC, opposition) a annoncé jeudi, la mort à Johannesburg de Patrick Karegeya, l’ancien chef des services de renseignement extérieur du Rwanda devenu opposant au président Paul Kagamé. Le parti dénonce un assassinat politique.
Les délégations du président sud-soudanais Salva Kiir et de l’ex-vice président Riek Machar, chef d’une rébellion qui affronte l’armée depuis mi-décembre au Soudan du Sud, sont arrivées à Addis-Abeba mercredi pour entamer des pourparlers de paix.
La mort de Mandela, les deux opérations militaires françaises au Mali et en Centrafrique, la Coupe d’Afrique des Nations, le destitution de Mohamed Morsi : en 2013 encore, le continent africain a connu son lot d’événements majeurs, heureux ou malheureux. Rétrospective.
En pleine affaire Dieudonné, un double buzz débuté mi-décembre rappelle qu’une reconnaissance pleine et entière, en France, du génocide commis en 1994 contre les Tutsis du Rwanda se heurte toujours à une ignorance prononcée.
L’ancien vice-président sud-soudanais Riek Machar a affirmé avoir envoyé mardi une délégation pour négocier en son nom à Addis Abeba. Il pose néanmoins certaines conditions et affirme que pour l’heure ses forces « marchent encore sur Djouba ».
Le Centre national d’enseignement à distance (Cned), qui dépend du ministère français de l’Éducation nationale, a envoyé à ses élèves de troisième un invraisemblable document.
Au moment où l’armée sud-soudanaise et la rébellion s’affrontent de nouveau, mardi matin, dans la ville de Bor, capitale de l’État de Jonglei, le président Salva Kirr a exclu tout partage de pouvoir avec son rival Riek Machar pour mettre fin au conflit armé.
Les Congolais ont prononcé son nom toute la journée de lundi, depuis que des hommes qui se sont revendiqués comme ses fidèles ont attaqué la radio-télévision, le ministère de la Défense et l’aéroport à Kinshasa, dans la matinée. Qui est Paul-Joseph Mukungubila, prophète autoproclamé et farouche opposant à Joseph Kabila ?
Limogé il y a six mois, l’ancien vice-président Riek Machar est accusé de tentative de coup d’État. L’intéressé dément mais demande le départ du président. Jamais le Soudan du Sud n’a semblé si proche de la guerre civile.
Selon l’armée sud-soudanaise des jeunes miliciens de l’ethnie Lou Nuer, que le gouvernement accuse l’ex-vice président Riek Machar de mobiliser, se trouveraient toujours, lundi, aux portes de Bor, capitale de l’État du Jonglei (Est).
La mission de l’ONU au Soudan du Sud (Minuss) s’est dite préoccupée dimanche par des informations selon lesquelles de jeunes miliciens avanceraient vers Bor, capitale de l’État sud-soudanais de Jonglei (est) et a appelé toutes les parties à éviter un bain de sang.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a répété dans la nuit de samedi à dimanche que les responsables d’exactions devraient répondre de leurs actes au Soudan du Sud, alors que Djouba accuse de nouveau les rebelles de préparer des milliers de jeunes miliciens au combat.
Le président sud-soudanais Salva Kiir et l’ex-vice président Riek Machar étaient sous pression samedi pour entamer des pourparlers et arrêter l’escalade de la violence dans leur jeune pays, au bord de la guerre civile depuis près de deux semaines.
Au moins quatre soldats sont morts et onze personnes ont été blessées vendredi dans un attentat à la bombe dans la capitale somalienne Mogadiscio, ont affirmé la police et des témoins.
Après dix jours de combat intense, le gouvernement sud-soudanais a annoncé vendredi qu’il était prêt à un « cessez-le-feu immédiat » avec les rebelles de l’ancien vice-président Riek Machar. Réunis en sommet à Nairobi, les dirigeants de l’Autorité intergouvernementale sur le développement (Igad), regroupant des pays de la Corne de l’Afrique et d’Afrique de l’Est, ont salué cet engagement et espéré que Riek Machar prendrait « des engagements similaires ».
Après cinq jours d’affrontements à Makalah, les hommes de Riek Machar et les forces gouvernementales du Soudan du Sud ont tous les deux revendiqué vendredi le contrôle de la ville, capitale de l’État pétrolier du Haut-Nil. Le gouverneur aurait déjà fui la ville, selon la rébellion.