La Cour pénale internationale (CPI) a autorisé, vendredi, le président kényan Uhuru Kenyatta à ne pas assister à l’ensemble des audiences de son procès. Le chef de l’État doit y être jugé pour crimes contre l’humanité à partir du 12 novembre.
Parti de Chine en 2011, Fengyan Du est arrivé en octobre 2013 au Cap, en Afrique du Sud. Un périple initiatique de plus de 35 000 km pour ce jeune informaticien de 27 ans qui a traversé l’Afrique du Nord au Sud à vélo.
En janvier, le magazine Forbes publiait la liste des milliardaires africains. Une seule femme, Isabel dos Santos, faisait parti du classement. Elles seraient en réalité trois.
Selon la BBC, Hassan Abdi Dhuhulow, un Norvégien d’origine somalienne de 23 ans, est soupçonné par la police norvégienne d’être l’un des membres du commando jihadiste ayant attaqué le centre commercial Westgate à Nairobi, fin septembre.
Pour développer les paiements et les transferts mobile, les autorités kényane envisagent d’imposer l’ouverture des plateformes entre opérateurs, nationalement et internationalement. Une réelle menace pour Safaricom dont le système Mpesa totalise plus de 18 millions d’utilisateurs.
Le président de la CPI, le juge coréen Sang-hyun song, a tenté de répondre aux critiques d’une partie des dirigeants africains. « Nous n’avons jamais pourchassé aucun pays africain », a-t-il affirmé, jeudi.
Mercredi 16 octobre, l’Assemblée nationale burundaise a approuvé la nomination du nouveau premier vice-président, Bernard Busokoza. Toutefois, le choix du chef de l’État burundais, Pierre Nkurunziza, pour remplacer Térence Sinunguruza est difficilement accepté par les députés et sénateurs du parti au pouvoir.
Le distributeur kényan Naivas a annoncé le 16 octobre qu’il n’était plus en négociation avec Massmart Holdings. Ce dernier devait acquérir une participation majoritaire dans la chaîne de supermarchés kényane.
La troisième et dernière partie de « Rwanda 94 », une pièce de six heures, revient sur un épisode symbolique du génocide : la résistance et la solidarité des habitants de la colline de Muyira.
Le vice-président kenyan William Ruto a annoncé mardi ne pas s’opposer à la poursuite de son procès devant la CPI, tout précisant qu’il ne voulait pas y participer. Ses déclarations interviennent après que l’UA a demandé samedi l’ajournement des procédures engagées par la juridiction internationale contre l’éxécutif kényan.
Le président rwandais, Paul Kagamé, s’en est une nouvelle fois pris à la Cour pénale internationale (CPI). Il a estimé, mardi, qu’elle représentait une justice « sélective » aux mains des puissants de « ce monde ».
Le Libyen Abou Anas al-Libi, membre présumé d’Al-Qaïda, a plaidé non coupable, mardi, devant un juge new-yorkais. Il est inculpé pour les attentats meurtriers contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en août 1998.
Le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) a décidé, mardi, de transférer Charles Taylor dans une prison britannique. Le Rwanda avait pourtant annoncé plus tôt avoir été approché par le TSSL, afin de permettre à l’ex-président libérien de purger sa peine dans le pays des Grands Lacs au lieu du Royaume-Uni.
Le procès de trois jeunes Somaliens s’est ouvert lundi à Rennes, en France. Ils sont accusés d’avoir piraté, au large des Côtes somaliennes en 2009, le voilier « Tanit », à bord duquel le skipper Florent Lemaçon a trouvé la mort.
Un ancien pirate somalien parmi les plus puissants, Mohamed Abdi Hassan, alias Afweyne (« Grande Gueule » en somali), a été interpellé ce week-end en Belgique, en compagnie de Mohammed M. Aden, surnommé « Tiiceey », ancien gouverneur de la province somalienne de l’Himan et Heeb (centre).
Les manifestants veulent le chasser du pouvoir, Omar El-Béchir le sait. Il sait aussi que rien ne va plus depuis la sécession du Sud et qu’il est contesté jusque dans les rangs de son propre parti… Mais il s’accroche !
L’Union africaine (UA) a demandé, samedi, l’ajournement des procédures engagées pour crimes contre l’humanité contre les deux têtes de l’exécutif kényan par la Cour pénale internationale (CPI), qualifiée d' »impérialiste » et raciste par le président du Kenya Uhuru Kenyatta.
L’Union africaine (UA) a décidé que le président kényan Uhuru Kenyatta ne devrait pas se rendre devant la Cour pénale internationale (CPI), où son procès doit s’ouvrir le 12 novembre, tant qu’une requête d’ajournement formulée par l’UA n’a pas reçu de réponse, a annoncé samedi le chef de la diplomatie éthiopienne.
Le Fonds monétaire international a publié ses prévisions sur la croissance mondiale. Belle surprise : l’Afrique subsaharienne n’est dépassée que par les pays du continent asiatique.
Les services de renseignements éthiopiens avaient évoqué, dès la mi-juillet, un risque d’attentat imminent à Nairobi, frappée fin septembre par une sanglante prise d’otages.
Les parieurs en ligne avaient misé gros sur Ngugi wa Thiong’o. Il faut dire que l’engagement de l’auteur kikuyu, notamment en faveur d’une littérature en langues africaines, plaide en sa faveur. Une prochaine fois ?
La réunion exceptionnelle des dirigeants de l’Union africaine (UA) dont l’objet est de réexaminer ses relations avec le Cour pénale internationale (CPI) s’est ouverte, ce vendredi, à Addis Abeba. « Loin de promouvoir la justice et la réconciliation (…), la CPI s’est transformée en instrument politique », a notamment déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, le ministre éthiopien des Affaires étrangères, dont le pays préside l’UA. De Joseph Kony à Charles Blé Goudé, ce sont pas moins de 29 ressortissants du continent qui sont ou ont été dans le viseur de la CPI.
Sur le continent, le trafic devrait tripler d’ici à 2029. Mais si les aménagements aéroportuaires ne suivent pas l’évolution de la demande, cette croissance risque d’être fauchée en plein vol.
Le prix Nobel de la paix sud-africain Desmond Tutu a exhorté les pays africains à ne pas quitter la Cour pénale internationale (CPI), disant que cela ferait du monde « un endroit plus dangereux », accusant le Kenya et le Soudan.
Les États membres de l’Union africaine vont-ils se retirer en masse de la CPI ? Réponse lors du sommet extraordinaire convoqué à Addis-Abeba, les 11 et 12 octobre.
Lupita Nyong’o, actrice kényane de 30 ans, crève l’écran dans la Mecque du cinéma. Le 21 octobre, le Festival du Film de Hollywood lui remettra un Award pour son rôle dans « 12 Years a Slave », un film sur l’esclavage encensé par les critiques.
Épuisés par deux décennies de guerre, traqués au fin fond des forêts congolaises, près de 10 000 anciens rebelles des FDLR sont rentrés dans leur pays, le Rwanda, depuis 2001. Reportage.