L’armée kényane continuera de combattre en Somalie les insurgés islamistes shebab, a assuré vendredi le gouvernement, malgré leurs menaces réitérées d’attaques comme celle contre le centre commercial Westgate de Nairobi.
La situation restait explosive, vendredi, à Karthoum où de nouvelles manifestations à l’appel de militants réclamant la démission du président, Omar el-Béchir, étaient dispersées par la police.
Avec le retour d’exil des principaux opposants, le Burundi semble s’engager sur la voie de la réconciliation. De là à ce qu’elle tienne jusqu’aux prochains scrutins… D’autant que le président n’exclut pas de briguer un nouveau mandat en 2015.
Améliorer les relations entre les usagers et l’administration, assainir la fonction publique, lutter contre les malversations… La tâche du ministre de la Bonne Gouvernance et de la Privatisation, ‘Issa Ngendakumana, est aussi immense que multiforme.
Où se loge-t-on, où se soigne-t-on, où se cultive-t-on, où se porte-t-on le mieux en Afrique ? Telles sont les questions à l’origine de ce classement spécialement conçu par la rédaction. Un article du Jeune Afrique Spécial n°4 : « Quand les villes font leur révolution ».
Les insurgés islamistes somaliens continuent, sur un ton moqueur, de menacer le Kenya sur Twitter. Ils menacent d’y mener de nouvelles attaques, après le carnage du centre commercial Westgate à Nairobi.
Soupçonnée d’avoir participé à l’attaque meurtrière commise à Nairobi par un commando de Shebab, la Britannique Samantha Lewthwaite, dite la « Veuve blanche », est recherchée par Interpol. L’organisation policière internationale a émis, jeudi, un mandat d’arrêt à son encontre.
Au moins 29 personnes ont été tuées en trois jours de manifestations contre le gouvernement au Soudan. Les manifestants entendent poursuivre leur mobilisation ce jeudi.
En difficulté sur le terrain, la rébellion congolaise du Mouvement du 23-mars (M23) semble plus que jamais prête à négocier avec le gouvernement de Kinshasa.
Les manifestations anti-gouvernementales se poursuivaient mercredi, au Soudan, pour le troisième jour consécutif. Les cortèges de protestataires ont pris de l’ampleur à Khartoum, où les écoles et les magasins étaient fermés et les connections internet interrompues.
L’attaque du commando Shebab contre le centre commercial de Nairobi terminée, l’heure est désormais au bilan et aux questions. Du nombre exact d’otages tués à l’identité des terroristes en passant par leur communication sur Twitter, de nombreuses zones d’ombres subsistent.
L’Assemblée générale annuelle des Nations unies qui débute est marquée par l’actualité africaine : les crises du continent, mais aussi les frasques d’Omar el-Béchir qui clamait sa volonté de venir à New York…
La demande d’ajournement du procès du président kényan, Uhuru Kenyatta, a été rejetée, mardi, par les juges de la Cour pénale internationale (CPI). Ils estiment que la défense a eu le temps nécessaire pour se préparer.
Des experts vérifient, mercredi, « qu’aucun engin explosif n’a été laissé » dans le dédale de magasins du centre commercial de Nairobi, dont le siège a pris fin la veille. Le bilan provisoire officiel est de 61 civils et 6 militaires tués, 5 terroristes ont été abattus et 11 suspects présumés arrêtés.
Le siège du Parti du congrès national, au pouvoir au Soudan, a été incendié mardi par des manifestants à Oumdurman, ville voisine de Khartoum. Ceux-ci protestaient contre l’augmentation des prix du pétrole, qui ont presque doublé suite à une circulaire de la compagnie pétrolière du Soudan.
À peine le FPR a-t-il remporté haut la main les législatives rwandaises du 16 septembre que chacun s’interroge. Ce scrutin ouvre-t-il la voie à un troisième mandat du président Kagamé ?
Des terroristes étaient toujours retranchés, mardi après-midi, dans le centre commercial Westgate de Nairobi. La situation reste très confuse, notamment sur le sort d’éventuels otages aux mains des assaillants.
Les assauts menés, lundi 23 septembre, par les forces spéciales kényanes ne leur ont pas permis de venir à bout du commando à l’origine de l’attaque contre le centre commercial Westgate de Nairobi. Mardi matin, « un ou deux » assaillants islamistes étaient toujours retranchés dans l’un des étages supérieurs du bâtiment, selon les autorités.
Lundi soir, la prise d’otages du centre commercial Westgate, à Nairobi, au Kenya, n’était toujours pas achevée. Les autorités kényanes ont pris d’assaut le bâtiment, espérant neutraliser le commando islamiste encore retranché à l’intérieur, avec un nombre indéterminé d’otages. Le ministère de l’Intérieur a par ailleurs annoncé avoir interpellé plus de dix personnes pour les interroger.
L’attaque de Nairobi s’inscrit dans le contexte régional de l’action de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom). Loin d’être vaincus, les Shebab y sont cependant en fort recul, en particulier grâce à l’intervention du Kenya. Un article issu du J.A. n° 2735, publié en ligne le 18 juin 2013.
Les forces de sécurité kényanes ont lancé lundi matin l’assaut contre les islamistes Shebab retranchés avec des otages dans le centre commercial Westgate, à Nairobi. Suivez l’évolution de la situation en direct sur « Jeune Afrique ».
Le jordanien Hikma Pharmaceuticals et Midroc, la société de l’homme d’affaires éthio-saoudien Mohammed Hussein Al Amoudi, ont formé la coentreprise HikmaCure, détenue à parts égales par les deux groupes. HikmaCure investira sur le marché de la santé éthiopien.
Commencé samedi 21 septembre à la mi-journée, l’assaut d’un centre commercial de Nairobi, par des terroristes somaliens shebab, a fait au moins 68 morts. Les jihadistes menacent désormais d’assassiner les otages qu’ils disent détenir.
Des forces spéciales israéliennes ont pénétré dimanche dans le centre commercial de Nairobi Westgate pour tenter de mettre fin au siège du bâtiment et secourir les blessés et les otages retenus depuis samedi par un commando islamiste.
Le siège du centre commercial Westgate se poursuivait dimanche matin à Nairobi, où un commando islamiste, cerné par les forces de sécurité kényanes, était toujours retranché avec un nombre indéterminé d’otages.