Le chef rebelle Bosco Ntaganda, soupçonné d’atrocités en RDCongo en 2002 et 2003, est arrivé vendredi soir au centre de détention de la CPI après avoir quitté le Rwanda en début d’après-midi, sa première comparution à La Haye ayant déjà été fixée à mardi.
L’opérateur soudanais Sudatel tenterait selon le site TMT Finance de vendre ses filiales africaines dans un marché où la compétition plombe la rentabilité des petits acteurs.
Elle est la première représentante de la minorité falasha à accéder au Parlement de l’État hébreu. Mais elle ne se bat pas seulement pour défendre sa communauté.
Vendredi 22 mars vers 14 heures locales, l’ancien chef rebelle et ex-général de l’armée congolaise Bosco Ntaganda a décollé de l’aéroport de Kigali. Direction : La Haye, aux Pays-Bas, où il doit comparaître devant la Cour pénale internationale (CPI) mardi 26 mars.
Réfugié à Doha, au Qatar, le leader de la coalition rebelle de l’Union des forces de résistance (UFR), Timan Erdimi, a affirmé, jeudi 21 mars, vouloir reprendre les armes contre le régime du président Idriss Déby Itno.
D’après la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, le chef rebelle congolais Bosco Ntaganda, qui s’est livré lundi 18 mars à l’ambassade des États-Unis au Rwanda, sera transféré à la Haye « dans les deux jours ». Il est accusé de divers crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, commis entre septembre 2002 et septembre 2003 dans l’Ituri (nord-est de la RDC).
Le recours déposé par certaines parties civiles, dont Agathe Habyarimana, la veuve de l’ancien président rwandais, contre l’expertise balistique portant sur l’attentat du 6 avril 1994, a été rejeté par la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris, mardi 19 mars. Les avocats des sept Rwandais mis en examen dans ce dossier espèrent que cette décision conduira à un non-lieu pour leurs clients.
La reddition à l’ambassade des États-Unis du Rwanda du général rebelle congolais Bosco Ntaganda, lundi 18 mars, a surpris tout le monde. La Cour pénale internationale (CPI) demande désormais son transfert « immédiat » à La Haye, afin de pouvoir le juger.
Le Kenya a le potentiel pour devenir l’une des premières puissances pétrolières africaines. À condition de mener à bien un projet de pipeline d’un coût total de 5 milliards de dollars afin d’accéder aux marchés asiatiques.
Présent au salon annuel sur les engrais en Afrique organisé par le FMB, le kényan ETG est l’un des exemples de « success stories » africaines dans le secteur agro-industriel. Ashish Lakhotia, directeur général de la branche engrais, a accepté de répondre aux questions de « Jeune Afrique ».
Le général congolais Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI), « s’est rendu à l’ambassade des États-Unis » à Kigali lundi 18 mars, selon le gouvernement rwandais. Washington a confirmé l’information.
Bill Clinton, Tony Blair, Natalie Portman, Howard Buffett et quelques autres ont un point commun. Qu’ils viennent du cinéma, de la politique ou des affaires, tous ont un lien particulier avec le Rwanda. Tour d’horizon de ces célébrités, souvent américaines, qui portent haut les couleurs du pays des Mille Collines.
Le général rebelle Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité et qui se cachait dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), est passé au Rwanda, selon le gouvernement congolais qui a demandé à Kigali de ne pas le protéger.
Le Premier ministre kényan sortant Raila Odinga, battu de justesse à l’élection présidentielle par son adversaire Uhuru Kenyatta, a déposé samedi devant la Cour suprême un recours contre les résultats, dans un climat de tension, a constaté un photographe de l’AFP.
Fondé par Luc Rigouzzo et Laurent Demey, deux anciens dirigeants de Proparco (Groupe Agence française de développement), le capital-investisseur Amethis Finance boucle son premier investissement. Il entre au capital de Chase Bank, une petite mais très dynamique banque kényane.
Consolata Ndayishimiye a remis la Chambre fédérale de commerce et d’industrie de son pays sur pied. Un tour de force qui a contribué à améliorer le climat des affaires.
À peine sorti des élections, le gouvernement kényan annonce l’émission prochaine d’un emprunt obligataire sur les marchés internationaux. Objectif : financer des projets d’infrastructures, créateurs d’emplois et visant à rendre l’économie du pays plus compétitive.
En Tanzanie, dans certaines zones rurales, des médecins font preuve d’inventivité pour lutter contre le fléau des vers intestinaux. En équipant leur iPhone d’une loupe, ils peuvent l’utiliser leur comme microscope portable.
Ils sont une dizaine dans ce cas. Accusés de génocide, jugés à Arusha, ils ont fini par être libérés. Et ils n’ont nulle part où aller. Retourner dans leur pays ? Ils ne veulent pas en entendre parler !
Devancé par Uhuru Kenyatta lors de l’élection présidentielle kényane, le Premier ministre sortant, Raila Odinga, déposera un recours devant la Cour suprême, « probablement mercredi », a-t-on annoncé dans son camp, lundi 11 mars.
Pour l’opposition, c’est à la fois une mauvaise et une bonne nouvelle. Certes, elle a été largement battue aux législatives du 22 février. Mais elle va, pour la première fois, siéger à l’Assemblée.
Sous les auspices du Bureau des Nations unies au Burundi (Bnud), un forum de trois jours s’est ouvert lundi 11 mars dans la capitale burundaise, Bujumbura. Objectif : revenir à une vie démocratique normale après les élections contestées de 2010… et avant celles de 2015.
Uhuru Kenyatta a été proclamé, le 9 mars, président du Kenya dès le premier tour du scrutin. Loin de lui être défavorable, son inculpation pour crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI) a augmenté la visibilité de sa campagne et mobilisé ses électeurs.
Le calme prévalait largement dimanche au Kenya, au lendemain de l’élection de Uhuru Kenyatta à la présidence, dans un contraste frappant avec les émeutes ayant marqué le précédent scrutin de 2007.
Uhuru Kenyatta, inculpé de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI), a été proclamé, le 9 mars, président du Kenya dès le premier tour. Une victoire aussitôt contestée en justice par son rival Raila Odinga.
Après la libération, le 6 mars, du journaliste burundais Hassan Ruvakuki, pour des raisons médicales, l’un de ses avocats estime que cette décision reste avant tout administrative, sans incidence judiciaire. Et souligne que la défense attend toujours la réaction de la Cour suprême pour son appel.
Le Premier ministre sortant Raila Odinga a annoncé le 9 mars qu’il allait contester en justice sa défaite à la présidentielle au Kenya face à Uhuru Kenyatta, mais a appelé ses partisans à rester calme.
La commission électorale kényane a annoncé dans une allocution télévisée, vendredi 8 mars, un nouveau report de la publication du résultat définitif des élections. Retour sur les points de blocages.