L’issue des discussions engagées à Kampala entre les rebelles du Mouvement du 23-Mars et les autorités de la République démocratique du Congo (RDC) s’annonce incertaine. Contrairement à ses engagements, sur le terrain, la rébellion a pris position à 3 km des portes de Goma, plongeant la capitale du Nord-Kivu dans l’inquiétude.
Les rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23) ont provisoirement quitté la table des négociations avec la République démocratique du Congo (RDC), lundi 10 décembre à Kampala. À Goma, le scepticisme domine.
Seuls cinq pays africains n’ont pas voté lors de l’Assemblée générale de l’ONU en faveur de l’octroi à la Palestine du statut d’observateur non membre, le 29 novembre : le Cameroun, le Malawi, le Rwanda, la RDC et le Togo. Explications.
Au deuxième jour de négociations à Kampala entre le gouvernement congolais et le M23, lundi 10 décembre, les rebelles sont restés à leur hôtel. Les deux délégations se parleront-elles mardi ?
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 se sont réunis dimanche 9 décembre à Kampala, capitale de l’Ouganda, pour tenter de négocier un retour à la paix dans l’est de la RDC.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du mouvement M23 ont entamé des discussions dimanche à Kampala afin de ramener la paix dans l’Est de la RDC, théâtre de nouveaux combats ces derniers mois.
L’armée du Soudan du Sud a ouvert le feu sur des manifestants en colère, tuant au moins dix personnes qui protestaient contre le transfert du siège de l’autorité locale hors d’une capitale régionale, a annoncé l’ONU dimanche.
Les islamistes shebab somaliens, affiliés à Al-Qaïda, ont subi un nouveau revers dimanche avec la perte d’un de leurs bastions à Jowhar dont ils ont été chassés par les troupes somaliennes et de l’Union africaine.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du mouvement M23 vont entamer des discussions dimanche à Kampala afin de ramener la paix dans l’Est de la RDC, théâtre de nouveaux combats ces derniers mois, a annoncé samedi le porte-parole de la délégation des rebelles à l’AFP.
La force de l’ONU en République démocratique du Congo (RDC) est « une grande honte » et elle se livre « à une sorte de tourisme militaire » dans le pays, a déclaré samedi le président ougandais Yoweri Museveni.
Cinq personnes ont été tuées dans un attentat à la grenade perpetré vendredi soir près d’une mosquée de Nairobi, selon un nouveau bilan communiqué samedi matin par la police à l’AFP.
La justice française a enjoint la préfecture de l’Essonne à délivrer un titre de séjour à l’ex-première dame du Rwanda, Agathe Habyarimana, selon son avocat. Cette dernière est toujours recherchée par la justice rwandaise.
La chanteuse sud-africaine Yvonne Chaka Chaka animait le lancement du forum des partenaires de la Global Alliance for Vaccines and Immunisation (Gavi), le 5 décembre à Dar es-Salaam. Une cérémonie que le président tanzanien et son ministre de la Santé ne devraient pas oublier.
Le forum des partenaires de la Global Alliance for Vaccines and Immunisation (Gavi) se tient à Dar es-Salaam (Tanzanie), du 5 au 7 décembre 2012. L’occasion de faire le bilan de douze ans d’action et de préparer l’avenir.
À trois mois des élections générales, la multiplication des violences inquiète. La classe politique, elle, souffle le chaud et le froid sur les braises du communautarisme.
Les négociations entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23) vont s’ouvrir « d’ici un ou deux jours », a déclaré mardi 4 décembre le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej Mangez, en visite à Goma.
L’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a fait son retour, lundi 3 décembre, à Goma, ville que le Mouvement du 23 mars (M23) avait quitté il y a deux jours. Mais le flou régnait toujours sur les négociations prévues entre les autorités congolaises et les rebelles, promises en échange du repli de ces derniers.
Le Rwanda et l’Ouganda ont à nouveau été accusés de soutenir les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) en RDC. Dans une lettre datée du 26 novembre, le comité d’experts de l’ONU détaille les soutiens que Kampala et surtout Kigali auraient apportés au M23 : armes, équipements mais également troupes en territoire congolais. Selon le document, dévoilé par le « New-York Times », l’offensive de Goma aurait même été en partie commandée par des officiers de l’armée rwandaise.
Un camp de déplacés congolais a été attaqué par des « hommes armés » dans la nuit de samedi à dimanche près de Goma, ville clé de l’est de la République démocratique du Congo (RDC) tout juste évacuée par les rebelles du M23, a-t-on appris auprès du HCR et du responsable congolais du camp.
Le retrait des rebelles du M23 de Goma , capitale de la riche province minière du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, est « un pas vers la bonne direction », a affirmé dimanche à l’AFP le porte-parole du gouvernement de RDC, Lambert Mende.
Les rebelles congolais du M23 ont quitté samedi comme promis Goma, la capitale de la riche province minière du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), qu’ils avaient prise le 20 novembre à l’armée régulière du pays dans une démonstration de force.
Un convoi composé de quelques centaines d’hommes de la rébellion congolaise du M23 a commencé samedi à quitter la ville de Goma, capitale de la riche province minière du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), ont constaté des journalistes de l’AFP.
Londres a décidé de ne pas verser au Rwanda les 21 millions de livres (26 millions d’euros) prévus pour le mois de décembre. Le Royaume-Uni annonce simultanément un versement supplémentaire de 18 millions de livre pour « les besoins humanitaires urgents » en RDC.
Le chef militaire de la rébellion M23, le général Sultani Makenga, a accusé vendredi la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) de bloquer le retrait de ses troupes de Goma, où un peu plus de 270 policiers congolais sont arrivés, vendredi 30 novembre.
Depuis que le chef militaire du M23, Sultani Makenga, a annoncé que ses troupes se retireraient de Goma, les signes du repli restent peu visibles. Il devrait être effectif vendredi 30 novembre « ou peut-être le jour suivant », samedi, a déclaré, jeudi, un porte-parole des rebelles, Amani Kabasha.
Dar es-Salaam veut s’impliquer davantage dans les médiations au sein de sa sous-région. Explications du ministre tanzanien des Affaires étrangères, Bernard Membe.
Les rebelles du M23 ont conquis la ville du Nord-Kivu en cinq jours, avant d’initier un mouvement de retrait une semaine plus tard, le 28 novembre. L’armée congolaise n’a quasiment pas résisté et les Casques bleus ne se sont pas interposés. La seule issue, à présent, est le dialogue. Mais le rapport de forces n’est pas en faveur de Kinshasa. Un reportage de notre envoyé spécial, paru dans J.A. n° 2707.
La rébellion congolaise du M23 a entamé mercredi 28 novembre son retrait de la ville de Goma, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Elle répond ainsi au préalable posé par Kinshasa avant toute négociation de paix.
Paris lui a refusé sa demande d’asile mais ne veut pas pour autant l’extrader vers le Rwanda. Kigali affirme pourtant détenir « un dossier accablant » sur sa responsabilité dans le génocide. Une situation plus que délicate pour l’ex-première dame Agathe Habyarimana, qui vit en France depuis 1994.