« Game changers » (7/7). Des écoles ougandaises à la tribune de la COP26, la jeune militante alerte sur les effets du dérèglement climatique en Afrique. Et n’hésite pas à demander des comptes aux dirigeants mondiaux.
« Game changers » (5/7). Au Mozambique, le général major et le brigadier général ont incarné l’efficacité de l’armée rwandaise, qui met un point d’honneur à participer aux opérations de maintien de la paix sur le continent.
Alors que plusieurs sources confirment l’autorisation accordée à l’armée ougandaise d’intervenir sur le territoire congolais pour lutter contre les ADF, des frappes aériennes ont été menées ce mardi.
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a exhorté mardi 30 novembre les rebelles du Tigré à se rendre, affirmant que les forces gouvernementales se rapprochaient de la victoire, une semaine après s’être engagé à diriger les opérations militaires sur le front.
Une semaine après une double explosion à Kampala, Félix Tshisekedi a, selon plusieurs sources, autorisé l’armée ougandaise à intervenir sur le territoire congolais pour lutter contre les ADF. Une stratégie qui n’est pas sans risque.
De plus en plus menacée par l’avancée de la coalition de rebelles tigréens et oromos, le pays dirigé par Abiy Ahmed pourrait voir son destin basculer et, avec lui, celui de toute la Corne de l’Afrique. Une sortie de crise est pourtant possible, si la communauté internationale favorise le dialogue sans prendre partie.
Pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, le géant italien place au cœur de sa stratégie la production de biodiesel et de bioéthanol à partir de déchets. Après avoir scellé des accords avec le Congo-Brazzaville, l’Angola et le Kenya, le groupe de Claudio Descalzi vise le Rwanda et le Bénin.
En un mois, l’homme fort du Soudan a démis le Premier ministre, puis l’a réinstallé dans ses fonctions. Objectif : faire mine de partager le pouvoir, mais continuer à décider seul ou presque, en dépit des pressions internationales. Y parviendra-t-il ?
À son arrivée aux affaires, en 2018, le Premier ministre suscitait un immense espoir populaire. Mais trois ans plus tard, dont douze mois de conflit au Tigré, il est au bord du gouffre, entraînant son pays avec lui.
Paris a appelé ses ressortissants à quitter « sans délai » l’Éthiopie, tandis que l’ONU va évacuer d’ici jeudi les familles de ses employés internationaux présents dans le pays. Sur le terrain, les rebelles du TPLF avancent vers la capitale.
La présidente de l’Éthiopie, qui n’a qu’un rôle protocolaire, n’approuve ni ne soutient la politique belliciste du Premier ministre, Abiy Ahmed. Lequel ne veut rien entendre.
Les forces de sécurité ont arrêté dimanche le chef de bureau de la chaîne qatarie à Khartoum, renforçant la pression sur les médias au lendemain de l’une des journées les plus sanglantes depuis le putsch.
Allié aux rebelles tigréens du TPLF, l’Armée de libération oromo (OLA), dirigée par Jaal Marroo, menace de marcher sur Addis-Abeba. Cette convergence des luttes peut-elle avoir raison du Premier ministre éthiopien ?
Washington a imposé vendredi des sanctions contre l’Érythrée, alliée de l’Éthiopie dans le conflit du Tigré, mettant en garde contre « l’implosion » du pays d’Abiy Ahmed en cas d’échec d’une solution négociée.
Le chef de l’armée a annoncé, ce jeudi, la mise en place d’un nouveau Conseil de souveraineté, dont il prend la tête. Plusieurs personnalités qui réclamaient un transfert rapide du pouvoir aux civils en sont écartées.
Les États-Unis ont ordonné le départ de leur personnel non essentiel de leur ambassade en Éthiopie, où les combats ont redoublé ces derniers jours entre forces gouvernementales et rebelles tigréens, qui menacent de marcher sur la capitale.
Kigali organisera en 2025 les championnats du monde de cyclisme sur route. Elle sera la première ville africaine à accueillir cette compétition. Une échéance dont Aurore Munyangaju, la ministre des Sports du Rwanda, décrypte les enjeux.
Alors qu’Addis-Abeba se prépare à un possible assaut des combattants du TPLF alliés à ceux de l’OLA, le Premier ministre éthiopien est au pied du mur. Et les pays voisins s’inquiètent des répercussions de la crise.
Deux ans après avoir reçu le prix Nobel de la paix, le Premier ministre éthiopien est cité parmi les possibles auteurs de crimes de guerre dans la région du Tigré. Et certains observateurs anticipent déjà sa chute.
Circonscrits les premiers mois à la région du Tigré, les combats ont gagné l’Amhara et l’Afar. Alors que les rebelles disent avoir pris le contrôle de deux villes stratégiques situées à 400 km de la capitale, le Premier ministre appelle ses concitoyens à s’armer.
Poursuivant sa politique d’investissements malgré les difficultés liées à la pandémie de Covid-19, Djibouti table sur une croissance 5 % en 2021. Ce qui confirme son ambition de devenir la porte orientale du continent.
Depuis la chute d’Omar el-Béchir en avril 2019, le Soudan était dirigé à la fois par des civils et des militaires. Un mariage forcé émaillé de difficultés, qui ont conduit à une séparation brutale le 25 octobre dernier.
La première piscine du pays aux normes internationales – sans être olympique – a ouvert ses bassins il y a quelques mois. De quoi former les nouveaux talents de la natation. Ou, tout simplement, apprendre à nager aux Djiboutiens et les divertir.
L’écriture de ce Tanzanien de 73 ans, natif de Zanzibar, a séduit la prestigieuse académie suédoise. Au cœur de son œuvre, le sort des réfugiés et les ravages du colonialisme.
La filiale du dubaïote Enoc spécialisée dans la logistique portuaire, Horizon Djibouti Terminals Limited, poursuit son expansion dans la Corne de l’Afrique, consolidant les ambitions djiboutiennes dans le secteur.
Avec le putsch militaire survenu le 25 octobre, le pays suscite l’intérêt de nombreux pays. États-Unis, Égypte, Émirats… chacun cherche à préserver ses intérêts face à la nouvelle donne politique.
Un coup d’État est en cours au Soudan, où le Premier ministre Abdallah Hamdok et plusieurs membres du gouvernement ont été arrêtés ce 25 octobre. L’état d’urgence a été décrété par les militaires. Spécialiste du pays, le chercheur Roland Marchal décrypte la situation pour « Jeune Afrique ».
Le général soudanais Abdel Fattah al-Burhan a dissous lundi les autorités de transition dont la quasi-totalité des membres civils sont déjà aux mains de l’armée, décrétant l’état d’urgence alors que des tirs ont déjà fait des blessés parmi les manifestants pro-démocratie.
Alors que les militaires devaient rendre le pouvoir aux civils dans un mois, ils ont arrêté le Premier ministre, Abdallah Hamdok, et plusieurs de ses ministres ce lundi 25 octobre. Des manifestations sont en cours à Khartoum où les communications sont désormais coupées.
Créée il y a près de 130 ans, l’École hôtelière de Lausanne, réputée la meilleure du monde, multiplie les partenariats en Afrique. Afin de renforcer son empreinte internationale mais aussi de susciter des vocations sur un continent où « l’hospitalité est un trésor ».