Le procureur et le chef des service secrets de Djibouti, soupçonnés dans l’affaire Borrel, ont finalement été relaxés par la cour de Versailles en appel.
Soupçonné d’être un ancien chef de la milice hutue Interahamwe impliquée dans le génocide rwandais en 1994, Sylvere Ahorugeze pourrait être extradé vers le Rwanda pour y être jugé.
L’ancien dirigeant du parti présidentiel burundais, Hussein Radjabu, vient d’être reconnu en appel coupable de « complot contre la sûreté de l’Etat » pour des faits qui remontent à 2007. Sa peine de 13 ans de prison est confirmée.
Des combats violents au Darfour, près de la frontière avec le Tchad, ont fait 20 morts au sein de l’armée soudanaise, a indiqué lundi un porte-parole militaire, faisant état de 43 personnes tuées du côté des rebelles.
Deux journalistes indépendants, une Canadienne et un Australien, enlevés en août près de Mogadiscio, ont lancé un appel de détresse, décrivant une captivité extrêmement éprouvante et appelant leur gouvernement à aider au versement d’une rançon.
Un important groupe rebelle du Darfour a pris dimanche soir le contrôle de la ville d’Umm Baru, près de la frontière avec le Tchad voisin, à l’issue de violents combats avec l’armée soudanaise, a indiqué à l’AFP un haut responsable de la mission ONU-Union africaine.
Les rebelles hutu rwandais restent actifs dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) malgré l’opération militaire rwando-congolaise du début de l’année, selon un rapport de cinq experts de l’ONU dont l’AFP a reçu une copie.
Au moins sept personnes ont perdu la vie dans un attentat suicide perpétré à l’intérieur d’une caserne de militaires dimanche, près du port de Mogadiscio. Les victimes seraient six soldats et un civil.
Des habitants de Mogadiscio fuyaient samedi les quartiers touchés par la contre-offensive lancée la veille par les forces gouvernementales somaliennes contre les insurgés islamistes, par crainte d’une reprise des affrontements qui ont fait au moins 31 morts.
Des combats opposant les forces gouvernementales somaliennes aux rebelles islamistes ont fait vendredi 29 morts dans le sud de Mogadiscio. Parmi les victimes, on compte majoritairement des civils.
Premier chef d’Etat africain à être reçu à la Maison Blanche, Jakaya Kikwete, le président de la Tanzanie, a rencontré Barack Obama au moment même où un tanzanien détenu à Guantanamo doit être déféré devant un tribunal américain.
Le Rwandais Désiré Munyaneza saura vendredi s’il est reconnu coupable de participation au génocide de 1994 dans son pays, au terme du premier procès pour crime contre l’humanité au Canada.
À la tête d’un programme d’assistance aux marins, le Kényan Andrew Mwangura s’est fait connaître en 2008 en servant d’intermédiaire entre les pirates somaliens qui avaient pris d’assaut le MV Faina et le gouvernement de son pays.
Le procès de onze personnes accusées d’assassinats et tentatives d’assassinats d’une dizaine d’albinos au Burundi s’est ouvert mardi devant le tribunal de grande instance de Ruyigi (à environ 200 km à l’est de la capitale Bujumbura), a constaté un journaliste de l’AFP.
La guerre civile, qui sévit en Somalie depuis 1991 et qui s’est intensifiée ces derniers jours, a causé le déplacement de centaines de milliers de civils. La majeure partie de ces réfugiés s’est installée dans des camps de fortune au Kenya.
Plusieurs témoins ont constaté la présence de troupes éthiopiennes en Somalie. Ils tiendraient des barrages dans une ville proche de Beledweyne, dans l’Ouest du pays.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, est préoccupé par les récentes violences et tensions à la frontière entre le Tchad et le Soudan et appelle les deux parties à cesser les combats, a déclaré lundi sa porte-parole.
L’armée tchadienne s’est retirée du Soudan après avoir « nettoyé tous les nids » de rebelles qui s’y étaient réfugiés, a annoncé dimanche le ministre par intérim tchadien de la Défense, alors que N’Djamena et Khartoum n’avaient jusqu’ici évoqué que des raids aériens.
Le chef d’un groupe de rebelles du Darfour se présentera volontairement lundi devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye qui le soupçonne d’avoir dirigé une attaque contre des soldats du maintien de la paix à Haskanita, au Darfour, en 2007.
Les islamistes radicaux des shebab, qui étendent de plus en plus leur contrôle en Somalie, ont pris dimanche Jowhar, proche de Mogadiscio et fief d’origine du président somalien, un nouveau revers pour le régime de Sharif Sheikh Ahmed sur qui l’étau se resserre.
Les islamistes radicaux shebab, qui étendent de plus en plus leur contrôle en Somalie, ont pris dimanche Jowhar, proche de Mogadiscio et fief d’origine du président somalien, un nouveau revers pour le régime de Sharif Sheikh Ahmed sur qui l’étau se resserre.
N’Djamena et Khartoum se renvoient la balle dans le problème des rebelles tchadiens. Selon le Tchad, son voisin facilite l’action des mercenaires, tandis que celui-ci s’offusque des bombardements aériens sur son sol.
Les Nations Unies se sont vivement alarmées du sort des populations civiles à Mogadiscio, tandis que les combats font toujours rage entre les forces gouvernementales somaliennes et les insurgés.
Après avoir échoué dans leur tentative d’atteindre N’Djamena, les rebelles se replient vers le Soudan. Mais Khartoum ne veut plus servir de base arrière.
Les Nations unies s’inquiètent de la situation politique qui se dégrade de jour en jour à Mogadiscio. L’organisation soupçonne par ailleurs l’Erythrée d’approvisionner les insurgés shebab en armes.
La nouvelle incursion, depuis le 3 mai, des rebelles tchadiens dans l’est du Tchad a été préparée avec méthode. Ces six derniers mois, le régime soudanais a minutieusement préparé cette troisième tentative de renversement d’Idriss Déby Itno. Il a d’abord enfermé les rebelles dans un hôtel de Khartoum jusqu’à ce qu’ils cessent de se quereller.
« Plusieurs dizaines de civils » ont été tués le week-end dernier dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), lors d’attaques attribuées aux rebelles hutus rwandais (FDLR), a-t-on appris mercredi auprès de la Mission de l’ONU en RDC (Monuc).
James Kimondo poursuit quatre leaders de la grève du sexe qui s’est achevée il y a une semaine au Kenya. L’homme cherche réparation car, explique-t-il, son épouse a refusé sept jours durant de se donner à lui. En conséquence de quoi, il affirme avoir notamment souffert d’anxiété, de stress et de troubles du sommeil.