La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La tension est palpable au Soudan, notamment au Darfour où la présence des forces de sécurité a été renforcée, quelques heures avant la décision de la Cour pénale internationale de lancer ou non un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir.
Le président soudanais Omar el-Béchir a affirmé que la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre ou non mercredi un mandat d’arrêt à son encontre n’aurait « aucune valeur ».
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré mardi avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré mardi avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le Soudan a lancé en grande pompe mardi la production électrique au grand barrage de Méroé, le plus important chantier sur le Nil depuis 40 ans, son président Omar el-Béchir en profitant pour fustiger la justice internationale qui le menace.
La Cour pénale internationale (CPI) annonce mercredi si elle délivre ou non un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour.
Le président iranien, qui achève une tournée en Afrique, a profité de l’étape kényane pour faire la promotion de l’expertise de son pays en matière d’infrastructures.
Le retrait des forces éthiopiennes et l’élection d’un nouveau chef de l’État n’ont pas changé la donne. Les violences persistent, et les soldats étrangers en sont les premières victimes.
Médecins du Monde a annoncé lundi à Paris l’évacuation de ses équipes du Jebel Marra, dans le nord du Darfour (ouest du Soudan) en mettant en avant une « dégradation des conditions de sécurité ».
Les autorités soudanaises ont expulsé dimanche le correspondant du portail arabe de la chaîne d’information France 24, le Tunisien Zuhir Latif, a indiqué un haut responsable politique.
Les autorités soudanaises ont expulsé dimanche le correspondant du portail arabe de la chaîne d’information France 24, le Tunisien Zuhir Latif, a indiqué un haut responsable politique.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a souhaité samedi une présence « plus vigoureuse » de la Mission de l’Onu dans l’est de la RDC (Monuc), pour préserver les « gains » de l’opération menée par Kinshasa et Kigali contre les rebelles hutu rwandais.
Les soldats ougandais déployés en RD Congo depuis fin 2008 pour traquer avec Kinshasa la rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) pourraient entamer « début mars » leur retrait initialement prévu fin février, a-t-on appris samedi de source officielle.
Le nouveau président somalien Sharif Cheikh Ahmed a annoncé samedi à la presse avoir « accepté » le principe d’un « cessez-le-feu » avec les insurgés islamistes et de l’application de la loi islamique dans le pays, défendue par une médiation de chefs musulmans.
Les violences contre les civils risquent de s’accroître dans les prochaines semaines dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), avec l’extension des opérations contre les rebelles hutu rwandais, a averti samedi l’organisation humanitaire Oxfam.
Le camp du chef de l’Etat congolais Joseph Kabila a appelé vendredi le président de l’Assemblée nationale Vital Kamerhe à la « démission », pour ses propos critiques sur l’entrée fin janvier de soldats rwandais en République démocratique du Congo (RDC).
Des combats cette semaine dans la ville clé de Malakal au Sud-Soudan ont fait près de 50 morts et 100 blessés, a indiqué vendredi à l’AFP un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat.