Le président soudanais Omar el-Béchir a prévenu que le mandat d’arrêt émis à son encontre par la Cour pénale internationale pour les crimes au Darfour n’allait pas changer d’un iota la politique de son gouvernement.
Le rapporteur spécial des Nations unies sur les exécutions extrajudiciaires a réclamé une enquête indépendante sur l’assassinat jeudi à Nairobi de deux responsables d’une ONG qui a récemment dénoncé des exécutions sommaires par la police.
Le rapporteur spécial des Nations unies sur les exécutions extrajudiciaires, Philip Alston, a réclamé une enquête indépendante sur l’assassinat jeudi à Nairobi de deux responsables d’une ONG qui a récemment dénoncé des exécutions sommaires par la police.
Le rapporteur spécial des Nations unies sur les exécutions extrajudiciaires, Philip Alston, a réclamé une enquête indépendante sur l’assassinat jeudi à Nairobi de deux responsables d’une ONG qui a récemment dénoncé des exécutions sommaires par la police.
Des milliers de Somaliens ont manifesté à Mogadiscio, pour apporter leur soutien au Président soudanais Omar Hassan El-Bashir et dénoncer le mandat d’arrêt délivré mercredi par la Cour pénale internationale (CPI).
L’expulsion de 13 organisations humanitaires du Soudan met en péril plusieurs centaines de milliers de civils les plus vulnérables, ont averti des groupes d’aide humanitaire, en exhortant le gouvernement à réexaminer sa décision.
Une coalition de 62 ONG issues de quatre pays d’Afrique a estimé jeudi que le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir risque de « nuire aux efforts de paix » et d’accroître l’instabilité au Darfour.
Une coalition de 62 ONG issues de quatre pays d’Afrique a estimé que le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir risque de « nuire aux efforts de paix » et d’accroître l’instabilité au Darfour.
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine va demander au Conseil de sécurité de l’ONU d' »interrompre » la procédure engagée par la CPI contre le président soudanais Omar el-Béchir, a annoncé le président du CPS lors d’un point de presse.
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine va demander au Conseil de sécurité de l’ONU d' »interrompre » la procédure engagée par la CPI contre le président soudanais Omar el-Béchir, afin de privilégier le processus de paix, notamment au Darfour.
Le président soudanais Omar el-Béchir a répliqué au mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) en expulsant des ONG internationales du Darfour, menaçant l’acheminement d’une aide humanitaire vitale pour des centaines de milliers de civils.
Le président soudanais Omar el-Béchir a répliqué jeudi au mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) en expulsant des ONG internationales du Darfour, menaçant l’acheminement d’une aide humanitaire vitale pour des centaines de milliers de civils.
D’autres ONG pourraient être expulsées du Soudan, a prévenu jeudi le chef de la Commission soudanaise des Affaires humanitaires (HAC), accusant la dizaine d’organisations déjà sommées de quitter le pays d’avoir collaboré avec la Cour pénale internationale (CPI).
L’Afrique du Sud a qualifié de « regrettable » pour le processus de paix au Soudan le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) émis à l’encontre du président Omar el-Béchir.
Le président soudanais Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, s’est joint aujourd’hui à une grande manifestation de soutien à sa cause à Khartoum, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.
Le président soudanais Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, s’est joint jeudi à une grande manifestation de soutien à sa cause à Khartoum, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.
« Opportunité » pour la paix pour les ONG, « menace aux yeux des partenaires du Soudan, soutien à la lutte contre l’impunité de la part des Occidentaux: les réactions au mandat d’arrêt contre le président soudanais illustrent les divisions internationales sur le conflit du Darfour.
« Nous allons te protéger Béchir jusqu’à la dernière goutte de notre sang », scandaient mercredi des milliers de Soudanais, soutenant leur président Omar el-Béchir, objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI).
Le régime soudanais a catégoriquement rejeté le mandat d’arrêt émis mercredi par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président Omar el-Béchir, ses fidèles scandant dans les rues de Khartoum leur intention de le protéger jusqu’à leur « dernière goutte de sang ».
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
Le conflit du Darfour, dans l’ouest du Soudan, a fait selon l’ONU jusqu’à 300. 000 morts et plus de 2,7 millions de déplacés depuis février 2003. Khartoum n’évoque que 10. 000 morts.